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Albionisation polyglotte d’autrefois
On m’avait dit il faut aller en Angleterre
Pour avoir de l’anglais suffisante teinture
En vous Shakespearisant monsieur on dénature
La langue britannique à beaucoup sachant plaire.
Mes parents aussitôt m’envoyèrent en vacances
Chez de doux royalistes habitant en Albion
Et ces hôtes charmants me prirent en pension
Afin que mon anglais atteigne l’excellence
Le sir était libraire en ville et chaque jour
Il quittait la banlieue pour tenir sa boutique
Sa lady au logis en travaux domestiques
à de calmes efforts devait avoir recours
J’avais dès le matin un peu d’apprentissage
Et donc suivant des cours j’enrichis mon savoir
La parole importait courts étaient les devoirs
L’anglais dans l’autobus a de grands avantages
L’après midi étant moment de liberté
Ma logeuse craignant que je perde mon temps
M’enseigna en deux jours quelques rapprochements
Usant rapidement ma jeune chasteté
Comme elle avait sans doute un époux peu actif
Nous eûmes des five-o-clock compensant sa paresse
J’avais des théories elle m’enseigna l’adresse
Pour réussir des jeux souvent répétitifs
Ma jeunesse plaisant à la lady gourmande
À sa meilleure voisine elle en fit le récit
Et je dus la distraire d’un marital souci
Ne pouvant refuser à dame qui quémande
Sans jalousie alors ces dames captivantes
Furent capables d’user mon ardente nature
Et voulant partager leurs moments de luxure
Usèrent mon appétit étant récidivantes
De retour au pays j’avais mauvaise mine
Le climat de là bas ne bronze pas beaucoup
Mais je me reposai au cours du mois d’août
Chez l’amie de maman et sa cadette Hermine
Hélas pour mon repos Août était pluvieux
Les dames m’occupèrent chacune en alternance
Mais l’Angleterre ayant enrichi mes vacances
Je plus facilement en faisant de mon mieux.
Or chacune ignorant de l’autre les travaux
Nulle querelle ne vint nuire à nos face à face
Entre mes divers feux je gardais des espaces
Afin que ma santé trouve un peu de repos.
Un calme relatif me vint à la rentrée
Élise ma voisine qui lors de ses vacances
N’avait été l’objet d’une tendre assistance
Apprécia le fait de ne pas folâtrer.
Et ayant obtenu l’examen convoité
Élise voulut bien de doux rapprochements
Et les étonnements de ses enchantements
à l’Angleterre durent quelques diversités.
On m’avait dit il faut aller en Angleterre
Pour avoir de l’anglais suffisante teinture
En vous Shakespearisant monsieur on dénature
La langue britannique à beaucoup sachant plaire.
Mes parents aussitôt m’envoyèrent en vacances
Chez de doux royalistes habitant en Albion
Et ces hôtes charmants me prirent en pension
Afin que mon anglais atteigne l’excellence
Le sir était libraire en ville et chaque jour
Il quittait la banlieue pour tenir sa boutique
Sa lady au logis en travaux domestiques
à de calmes efforts devait avoir recours
J’avais dès le matin un peu d’apprentissage
Et donc suivant des cours j’enrichis mon savoir
La parole importait courts étaient les devoirs
L’anglais dans l’autobus a de grands avantages
L’après midi étant moment de liberté
Ma logeuse craignant que je perde mon temps
M’enseigna en deux jours quelques rapprochements
Usant rapidement ma jeune chasteté
Comme elle avait sans doute un époux peu actif
Nous eûmes des five-o-clock compensant sa paresse
J’avais des théories elle m’enseigna l’adresse
Pour réussir des jeux souvent répétitifs
Ma jeunesse plaisant à la lady gourmande
À sa meilleure voisine elle en fit le récit
Et je dus la distraire d’un marital souci
Ne pouvant refuser à dame qui quémande
Sans jalousie alors ces dames captivantes
Furent capables d’user mon ardente nature
Et voulant partager leurs moments de luxure
Usèrent mon appétit étant récidivantes
De retour au pays j’avais mauvaise mine
Le climat de là bas ne bronze pas beaucoup
Mais je me reposai au cours du mois d’août
Chez l’amie de maman et sa cadette Hermine
Hélas pour mon repos Août était pluvieux
Les dames m’occupèrent chacune en alternance
Mais l’Angleterre ayant enrichi mes vacances
Je plus facilement en faisant de mon mieux.
Or chacune ignorant de l’autre les travaux
Nulle querelle ne vint nuire à nos face à face
Entre mes divers feux je gardais des espaces
Afin que ma santé trouve un peu de repos.
Un calme relatif me vint à la rentrée
Élise ma voisine qui lors de ses vacances
N’avait été l’objet d’une tendre assistance
Apprécia le fait de ne pas folâtrer.
Et ayant obtenu l’examen convoité
Élise voulut bien de doux rapprochements
Et les étonnements de ses enchantements
à l’Angleterre durent quelques diversités.
