- Inscrit
- 19 Octobre 2018
- Messages
- 3,541
- J'aime
- 6,131
- Points
- 173
- Age
- 85
- Localité
- Orléans
- Je suis
- Un homme
Hors ligne
Au clair de le brume
Quinquennats de brumes
Moral à zéro
Des nuls nous enfument
Dépensent nos euros
La sagesse est morte
Règne l’orgueilleux
Des sots en cohortes
Flattent le prétentieux
Il faut dire aussi
Que c’est très rentable
Un présidentiable
Des urnes sorti.
Règne la magouille
Les unions bizarres
Remplissent les fouilles
Même des nullards.
Mais manquant de thune
Le peuple s’ennuie
Même les fortunes
Se font du soucie
L’Europe voisine
Brasse de la mélasse
Elle nous assassine
Nous fait boire la tasse
Promettant la Lune
Des élus boiteux
Nous taxent et nous plument
Mais rien ne va mieux
On n’a plus de feu
On sort de la piste
Mettons à la porte
Les élus fumistes
De nombreux nullards
Promettent souvent
Mais l’on voit trop tard
Qu’ils vendent du vent
Il faudrait d’abord
Nous dit Marianne
D’un commun accord
Virer tous les ânes.
Et rendre fragiles
Les postes d’élus
Qui s’ils sont débiles
Ne reviendraient plus.
Au clair de la brume
On a vu trop tard
Que le vent qu’on hume
était un traquenard.
Serait-il trop tôt
Pour un président
D’un choix permettant
Qu’il fasse son boulot.
Qui par grande chance
Nous ponde une fable
Où des gens capables
Gouvernent la France.
Quinquennats de brumes
Moral à zéro
Des nuls nous enfument
Dépensent nos euros
La sagesse est morte
Règne l’orgueilleux
Des sots en cohortes
Flattent le prétentieux
Il faut dire aussi
Que c’est très rentable
Un présidentiable
Des urnes sorti.
Règne la magouille
Les unions bizarres
Remplissent les fouilles
Même des nullards.
Mais manquant de thune
Le peuple s’ennuie
Même les fortunes
Se font du soucie
L’Europe voisine
Brasse de la mélasse
Elle nous assassine
Nous fait boire la tasse
Promettant la Lune
Des élus boiteux
Nous taxent et nous plument
Mais rien ne va mieux
On n’a plus de feu
On sort de la piste
Mettons à la porte
Les élus fumistes
De nombreux nullards
Promettent souvent
Mais l’on voit trop tard
Qu’ils vendent du vent
Il faudrait d’abord
Nous dit Marianne
D’un commun accord
Virer tous les ânes.
Et rendre fragiles
Les postes d’élus
Qui s’ils sont débiles
Ne reviendraient plus.
Au clair de la brume
On a vu trop tard
Que le vent qu’on hume
était un traquenard.
Serait-il trop tôt
Pour un président
D’un choix permettant
Qu’il fasse son boulot.
Qui par grande chance
Nous ponde une fable
Où des gens capables
Gouvernent la France.