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Au sein des étoiles
Au sein des étoiles, ô grand concert des astres
Sous la lune enfiellée, la nuit endiablée,
Nulle bonne saison, pour récolter le blé !
Maman, ma vie sans toi, dans le sein le désastre !
Maman, j'ai froid sans toi, peux tu me réchauffer
Du Souvenir, ô cœur d'or en un bel émoi ?
Bel Azur ou Diane emmenez moi
Près d'elle ! Sur terre, je me sens étouffé...
Le sable est brûlant, sablier d'un mauvais temps
Ouvre moi grande la porte de ces étoiles !
Dans mon cœur, le Paradis que tu me dévoiles !
En mon amour pour toi, ô chaleur des instants...
Nu est son triste cœur, l'enfant au chant a-mer,
Or, il goûte aux douceurs, la poésie l'apaise...
Les mots sont ses amis, son appui, sans malaise.
J'épouse donc la vie, mon aimée solidaire...
Or,
Ensemble goûtons-nous la vie avec ardeur ?
Fi ! En nos cœurs règnent d'infernales chaleurs !
Heureux ? Non. Plus jamais*... Résigné au malheur !
Un enfant sans mère, mais quel est donc son crime,
Dans l'esprit tourmenté, dedans son cœur victime ?
Mais vrai, maman, j'ai un trou béant dans le cœur !
Oh ! Que j'aimerai tant contempler sur l'étang
Ma triste Ophélia* qui, depuis trop longtemps,
Dort...
Sous la lune enfiellée, la nuit endiablée,
Nulle bonne saison, pour récolter le blé !
Maman, ma vie sans toi, dans le sein le désastre !
Maman, j'ai froid sans toi, peux tu me réchauffer
Du Souvenir, ô cœur d'or en un bel émoi ?
Bel Azur ou Diane emmenez moi
Près d'elle ! Sur terre, je me sens étouffé...
Le sable est brûlant, sablier d'un mauvais temps
Ouvre moi grande la porte de ces étoiles !
Dans mon cœur, le Paradis que tu me dévoiles !
En mon amour pour toi, ô chaleur des instants...
Nu est son triste cœur, l'enfant au chant a-mer,
Or, il goûte aux douceurs, la poésie l'apaise...
Les mots sont ses amis, son appui, sans malaise.
J'épouse donc la vie, mon aimée solidaire...
Or,
Ensemble goûtons-nous la vie avec ardeur ?
Fi ! En nos cœurs règnent d'infernales chaleurs !
Heureux ? Non. Plus jamais*... Résigné au malheur !
Un enfant sans mère, mais quel est donc son crime,
Dans l'esprit tourmenté, dedans son cœur victime ?
Mais vrai, maman, j'ai un trou béant dans le cœur !
Oh ! Que j'aimerai tant contempler sur l'étang
Ma triste Ophélia* qui, depuis trop longtemps,
Dort...
Julien Lou Baccarra
Le 10 mars 2021
Le 10 mars 2021
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