Hors ligne
A vant même que nos bouches ne se soient épousées
V ent chaud d'un été qui embrase d'un doux émoi
A u sucre parfumé de la rose vermeille
N os corps frémiront tendrement enlacés
T oujours plus amoureux en une même communion
M ain dans la main devant nous fièrement nous irons
E t le doux Zéphyr de mes cheveux fera un voile
M ariant nos silhouettes sous un ciel empreint de sérénité
E nchaînées par les fers de la volupté
Q uand sur la voix lactée les anges nous entraîneront
U nis par de longs baisers langoureux
E n nous sonnera le tocsin de notre délivrance
N ous voguerons alors sur une mer de nuages
O ubliant les affres d'une cruelle histoire
S ymbole de tous nos plus anciens tourments
B ercés par une douce musique aux airs ancestraux
O ù chaque étoile scintillera dans un ciel merveilleux
U nissant en une grande farandole de dentelle
C iel et terre dans une tempête de douce violence
H o ! Bonheur que n'ai je compris plus tôt
E t avec toi m'envoler dans les bras de nos désirs
S ur cet océan où les rames nous conduiront
N ous partirons vers des terres lointaines
E t la bas cultiverons des grands champs de baisers
S ans jamais nous soucier des lendemains
E crits sur le grand testament de nos vies
S ereinement nous nous coucherons sur la plage
O ù tu m'as donné ce premier long baiser
I mpétuosité et fougue de tes jeunes années
E n faisant le serment de m' aimer pour toujours
N otre nuit fut un feu d'artifice géant
T erminée en apothéose de bouquet final
E t quand le soleil se lèvera dans un ciel flamboyant
P our éclairer de ses rayons notre amour naissant
Ô bel ange chante nous encore et encore
U ne sérénade aux doux accents surannés
S erons nous encore là sur cette plage de sable blanc
E t nos mains seront elles toujours unies
É pousailles de pacotille au summum de notre rêve
S aurons nous résister encore au démons de nos mots ?
Acrostiche écrit d'après un vers d'Oyem avec son autorisation et que je remercie d'ailleurs
V ent chaud d'un été qui embrase d'un doux émoi
A u sucre parfumé de la rose vermeille
N os corps frémiront tendrement enlacés
T oujours plus amoureux en une même communion
M ain dans la main devant nous fièrement nous irons
E t le doux Zéphyr de mes cheveux fera un voile
M ariant nos silhouettes sous un ciel empreint de sérénité
E nchaînées par les fers de la volupté
Q uand sur la voix lactée les anges nous entraîneront
U nis par de longs baisers langoureux
E n nous sonnera le tocsin de notre délivrance
N ous voguerons alors sur une mer de nuages
O ubliant les affres d'une cruelle histoire
S ymbole de tous nos plus anciens tourments
B ercés par une douce musique aux airs ancestraux
O ù chaque étoile scintillera dans un ciel merveilleux
U nissant en une grande farandole de dentelle
C iel et terre dans une tempête de douce violence
H o ! Bonheur que n'ai je compris plus tôt
E t avec toi m'envoler dans les bras de nos désirs
S ur cet océan où les rames nous conduiront
N ous partirons vers des terres lointaines
E t la bas cultiverons des grands champs de baisers
S ans jamais nous soucier des lendemains
E crits sur le grand testament de nos vies
S ereinement nous nous coucherons sur la plage
O ù tu m'as donné ce premier long baiser
I mpétuosité et fougue de tes jeunes années
E n faisant le serment de m' aimer pour toujours
N otre nuit fut un feu d'artifice géant
T erminée en apothéose de bouquet final
E t quand le soleil se lèvera dans un ciel flamboyant
P our éclairer de ses rayons notre amour naissant
Ô bel ange chante nous encore et encore
U ne sérénade aux doux accents surannés
S erons nous encore là sur cette plage de sable blanc
E t nos mains seront elles toujours unies
É pousailles de pacotille au summum de notre rêve
S aurons nous résister encore au démons de nos mots ?
Acrostiche écrit d'après un vers d'Oyem avec son autorisation et que je remercie d'ailleurs