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Avec des si
Si j’étais un oiseau, je serais rossignol !
Dès l’aube te ravir et jusqu’au crépuscule,
Me métamorphoser, Chouette qui ulule
Devenir ton amie, qui sourit et consol’.
Une fleur peut-être, des champs, et pourquoi pas !
Le bleuet amoureux, pour l’âme du poète
La tête dans les cieux, ô étrange prophète
Brillante dans tes yeux, j’ai glissé sur tes pas.
Un hymne quel honneur, et être provençal,
Chanter « Coupo Santo » à l’humeur familière,
Suaves éclats rubis, louanges à notre terre
Qui enfante le vin, patrimoine royal !
Si monument j’étais, bien modeste serais
Au cœur de ma forêt, dans les bras de la « Baume »
N’aurai voulu que toi, pour exister en somme
Mais j’attendis en vain, nos joies à mon chevet.
Moi, humble narrateur, si poème j’étais,
J’aimerais être écrit par la plume du vent ;
Aux effluves d’un soir, et rumeurs que j’entends
Ô Méditerranée… veux-tu me parapher ?
Margénye Juillet 2010. »Janine Ravel »
Si j’étais un oiseau, je serais rossignol !
Dès l’aube te ravir et jusqu’au crépuscule,
Me métamorphoser, Chouette qui ulule
Devenir ton amie, qui sourit et consol’.
Une fleur peut-être, des champs, et pourquoi pas !
Le bleuet amoureux, pour l’âme du poète
La tête dans les cieux, ô étrange prophète
Brillante dans tes yeux, j’ai glissé sur tes pas.
Un hymne quel honneur, et être provençal,
Chanter « Coupo Santo » à l’humeur familière,
Suaves éclats rubis, louanges à notre terre
Qui enfante le vin, patrimoine royal !
Si monument j’étais, bien modeste serais
Au cœur de ma forêt, dans les bras de la « Baume »
N’aurai voulu que toi, pour exister en somme
Mais j’attendis en vain, nos joies à mon chevet.
Moi, humble narrateur, si poème j’étais,
J’aimerais être écrit par la plume du vent ;
Aux effluves d’un soir, et rumeurs que j’entends
Ô Méditerranée… veux-tu me parapher ?
Margénye Juillet 2010. »Janine Ravel »