Hors ligne
Quand les marques du temps en sillons outranciers
S'installent sans crier gard au fil des années
Affichant là notre âge comme des alfiers
Temoins d'une existense d'heures épuisées .
Le cœur, lui tambourine comme au premier jour
Avec toujours d'un jeune homme cette vaillance
Quand les mêmes envies de tendresse d'amour
Se font indispensable élixir de jouvence.
Mais, rides et ridules gravant le visage
Effaçent la jeunesse dans ses moindres traits
Nostalgie alors nous gagne devant l'outrage Jusqu'à nous habiter de bien trop de regrets.
Ainsi va la vie ici bas sur cette terre
Planète bleue au beau milieu de l'univers
Pour toi j'ai rêvé l'éternité chère mère
Et que soit l'été bien loin de tous les hivers
* Alfiers porte enseigne
S'installent sans crier gard au fil des années
Affichant là notre âge comme des alfiers
Temoins d'une existense d'heures épuisées .
Le cœur, lui tambourine comme au premier jour
Avec toujours d'un jeune homme cette vaillance
Quand les mêmes envies de tendresse d'amour
Se font indispensable élixir de jouvence.
Mais, rides et ridules gravant le visage
Effaçent la jeunesse dans ses moindres traits
Nostalgie alors nous gagne devant l'outrage Jusqu'à nous habiter de bien trop de regrets.
Ainsi va la vie ici bas sur cette terre
Planète bleue au beau milieu de l'univers
Pour toi j'ai rêvé l'éternité chère mère
Et que soit l'été bien loin de tous les hivers
* Alfiers porte enseigne