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Et puis arrive ce jour où tout devient sombre, ni artifice ni feu plus rien ne parvient à percer ce sombre brouillard, demain n'existe plus, aujourd'hui est déjà gris, une seule envie en sourdine.
Tout à l'intérieur bouillonne mais rien ne le laisse paraître, le visage est renfermé, mes rires ont une saveur de rancune, mes yeux la profondeur des lagunes, plus rien ne vibre plus rien ne bouge, une flamme qui vacille avant de fléchir, une vie qui s'estompe avant de périr.
Un épais brouillard à enveloppé mes émotions, une noirceur effroyable gangrène mes pensées, puisque demain n'est rien pourquoi continué ce chemin, puisque la fin à un goût de début et que c'est tout ce dont on me nourrie pourquoi j'irai cueillir le matin, laissez moi me lover dans ses bras de géant, laissez moi goûté aux délices du présent, laissez moi échouer sur une plage de galet, bloqué dans les tréfonds d'une vallée, assombrir le fond de mes pensées, ne laissez plus une seule once de lumière y pénétré, elle y est interdite, je me pourvoie dans l'obscurité, je me fourvoie à la nuit noire et à toutes ses lentes agonie, non la lumière n'y à plus sa place, non son odeur même me laisse un goût âcre, partez, abandonner, fuyez, aucune âme ne veut de la mienne, seule le soir entend mon désespoir, moi aussi je vais partir d'ailleurs, abandonnez, lâchez prise, envahit moi tout entier désir funeste, prend tout de moi et fais moi oublié l'effroi, la peur, l'abandon, la déception, la jalousie, l'amour et ses sombres pourtours, en toi je m'adonne, fais de moi ce qu'il te plaira.
Tout à l'intérieur bouillonne mais rien ne le laisse paraître, le visage est renfermé, mes rires ont une saveur de rancune, mes yeux la profondeur des lagunes, plus rien ne vibre plus rien ne bouge, une flamme qui vacille avant de fléchir, une vie qui s'estompe avant de périr.
Un épais brouillard à enveloppé mes émotions, une noirceur effroyable gangrène mes pensées, puisque demain n'est rien pourquoi continué ce chemin, puisque la fin à un goût de début et que c'est tout ce dont on me nourrie pourquoi j'irai cueillir le matin, laissez moi me lover dans ses bras de géant, laissez moi goûté aux délices du présent, laissez moi échouer sur une plage de galet, bloqué dans les tréfonds d'une vallée, assombrir le fond de mes pensées, ne laissez plus une seule once de lumière y pénétré, elle y est interdite, je me pourvoie dans l'obscurité, je me fourvoie à la nuit noire et à toutes ses lentes agonie, non la lumière n'y à plus sa place, non son odeur même me laisse un goût âcre, partez, abandonner, fuyez, aucune âme ne veut de la mienne, seule le soir entend mon désespoir, moi aussi je vais partir d'ailleurs, abandonnez, lâchez prise, envahit moi tout entier désir funeste, prend tout de moi et fais moi oublié l'effroi, la peur, l'abandon, la déception, la jalousie, l'amour et ses sombres pourtours, en toi je m'adonne, fais de moi ce qu'il te plaira.