Poème CAUCHEMARS !

Nuit de cauchemar

J'ai l'esprit torturé détruit par le chaos
Par le choc effroyable des rêves contre mes pensées
L'onde infernale de la folie monte aux sommets
De mon âme et s'écrase au fond d'un gouffre sans mot.
J'explose et j'implose comme un cri, je suis un cri
Qui crie et qui hurle, l'écume des jours ravageant
Mes obscurs et noirs espoirs plane dans l'océan
Perdu du temps, ce temps qui fuit dans l'infini.
La nuit, les cauchemars partagent dans mon sommeil
Mes angoisses, je repousse au loin de la mémoire
Tout ce qui est réel pour garder dans la foire
De mes douleurs, les souvenirs quand je m'éveille.


J'ai peur ! J'ai des sueurs froides, j'appréhende
Les lueurs crépusculaires du soir qui tombe
Annonçant la venue de la ténébreuse nuit

Mon esprit est en feu, un vent mental souffle
Sur les braises fumantes de la folie.
Les flammes reprennent vie et s'activent ardemment
Provoquant un incendie insoutenable

Je n'ai plus de rêves ! Les cauchemars envahissent mes pensées
Annihilent les fondements de la raison !

Je livre un combat monumental, affrontant de front
Les formidables mâchoires du démon qui m'habite
D'horribles images apparaissent montrant la face cachée de mon être

Je ne peux pas lutter à armes égales, le mal chaque nuit
Sape les fondations rationnelles de la mémoire
Les souvenirs s'estompent au fil du temps qui passe
Laissant place à de monstrueuses idées morbides

Comment supporter un tel supplice, faut-il penser au pire
A l'acte fatal, total, final et létal !
Afin de retrouver une certaine sérénité même mortelle !

Une chose me rassure, les cauchemars ne sont que le fruit
De l'imagination de l'auteur






J'ai peur ! J'ai des sueurs froides, j'appréhende
Les lueurs crépusculaires du soir qui tombe
Annonçant la venue de la ténébreuse nuit

Mon esprit est en feu, un vent mental souffle
Sur les braises fumantes de la folie.
Les flammes reprennent vie et s'activent ardemment
Provoquant un incendie insoutenable

Je n'ai plus de rêves ! Les cauchemars envahissent mes pensées
Annihilent les fondements de la raison !

Je livre un combat monumental, affrontant de front
Les formidables mâchoires du démon qui m'habite
D'horribles images apparaissent montrant la face cachée de mon être

Je ne peux pas lutter à armes égales, le mal chaque nuit
Sape les fondations rationnelles de la mémoire
Les souvenirs s'estompent au fil du temps qui passe
Laissant place à de monstrueuses idées morbides

Comment supporter un tel supplice, faut-il penser au pire
A l'acte fatal, total, final et létal !
Afin de retrouver une certaine sérénité même mortelle !

Une chose me rassure, les cauchemars ne sont que le fruit
De l'imagination de l'auteur

et souvent on ne se souvient pas des cauchemars comme des rêves. HEUREUSEMENT

merci