Hors ligne
Causerie hivernale
Dans le jardin d’hiver telle une éclaboussure,
Papyrus, Orchidée, cyclamen et clivia
S’enivrent de rayons au cœur de la froidure
A l’abri du jardin d’hiver Alléluia !
Le soleil est entré vous caressant crédule
Il joue auprès de vous ce somptueux charmeur,
Ne vous méprenez pas le soir lorsqu’il bascule
S’il traine ça et là flânant sur votre cœur !
Rayons, poussière d’or sur toi belle africaine
Clivia lys du Natal au calice orangé
Prends garde à toi ma mie sur ta hampe hautaine
S’il te fait les yeux doux, sans mot ni préjugé
Tu lui appartiendras ainsi que l’orchidée
Qui n’a pas écouté mes conseils chaleureux.
Cyclamen, papyrus à l’allure guindée
L’observent d’un œil vif ne se prenant aux jeux.
Moi, je suis poinsettia, de Noel la divine,
Au centre du salon ou au pied du sapin
J’étale mes atours et là je vous fascine
J’ai le charme envoutant du seigneur qui m’a peint.
« À mon jardin d’hiver, mon doux havre de paix ! »
Margénye Mars 2014.
Causerie hivernale
Dans le jardin d’hiver telle une éclaboussure,
Papyrus, Orchidée, cyclamen et clivia
S’enivrent de rayons au cœur de la froidure
A l’abri du jardin d’hiver Alléluia !
Le soleil est entré vous caressant crédule
Il joue auprès de vous ce somptueux charmeur,
Ne vous méprenez pas le soir lorsqu’il bascule
S’il traine ça et là flânant sur votre cœur !
Rayons, poussière d’or sur toi belle africaine
Clivia lys du Natal au calice orangé
Prends garde à toi ma mie sur ta hampe hautaine
S’il te fait les yeux doux, sans mot ni préjugé
Tu lui appartiendras ainsi que l’orchidée
Qui n’a pas écouté mes conseils chaleureux.
Cyclamen, papyrus à l’allure guindée
L’observent d’un œil vif ne se prenant aux jeux.
Moi, je suis poinsettia, de Noel la divine,
Au centre du salon ou au pied du sapin
J’étale mes atours et là je vous fascine
J’ai le charme envoutant du seigneur qui m’a peint.
« À mon jardin d’hiver, mon doux havre de paix ! »
Margénye Mars 2014.