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C’est l’histoire d’un commencement d’histoire
Mesdames vous le savez l'homme naquit puceau
État disparaissant au cours d’un doux sursaut
Eve depuis longtemps sut présenter le fruit
Qui dès le premier jour fit que l’on vous poursuit.
Mais l’affaire est complexe et il faut l’attirance
Pour octroyer aux sexes d’égales connivences
Les goûts et les couleurs dans leurs diversités
Induisent sottement des inégalités
Parfois pour un regard une dame exaspère
Une autre a la beauté qui fait que l’on espère
Mais dans l’indifférence ne laissent pas certaines
Provoquant des désirs qui forment une chaîne.
Or Il faut acquérir quelque discernement
On ne plaît pas d’un coup avec un compliment
De fines analyses au charme sans excès
Font délicatement accéder au succès.
Ne vous entêtez pas si le courant ne passe
L’opiniâtre borné mécontente ou agace
Et sachez bien messieurs que la séduction
Ne saurait exister sans concertation.
Méfiez vous des sens ils régissent la vie
Vous ne séduirez pas sans une tendre envie
En plaisant simplement en étant véritables
Des accords en commun deviennent délectables
Les dames en général aiment les préambules
Et la diplomatie de celui qui postule
À des enchantements pour de communs partages
Doit accorder du temps aux délicats hommages.
Mais le parfait accord exigeant un peu d’art
Devra se déceler dès le premier regard
Et l’esprit éprouvant le besoin d’un échange
Doit deviner du corps le sentiment étrange
Si l’étincelle vient et si le cœur s’embrase
Le penchant naturel précise son emphase
Car si les théories se limitent aux espoirs
Aux pratiques d’amour on ne saurait surseoir
Le feu entretenu d’élégantes façons
Se souvient aisément des plaisantes leçons
Où les désirs de l’autre exaltant l’attirance
Savent donner du temps à la concupiscence.
D’un trop d’activités évitant la sottise
Il faut de la lenteur suivre la pente exquise
Se laisser imposer des dames l’exigence
Qui n’aiment s’enflammer qu’avec intelligence
Car si l’emballement se montre nécessaire
Il se doit tempérer afin de mieux vous plaire
Et en sachant céder à l’éblouissement
L’échange sensuel devient couronnement.
Quand d’attente impossible un bonheur corporel
Choisit le dénouement immédiat et charnel
Il faut garder sagesse et revoir s’il le faut
Le bonheur corporel sous un aspect nouveau
Ciseler les détails de ces feux délicats
Qui vous font découvrir la folie pas à pas
Revoir les préférences les adresses tactiles
Qui donneront le la à l’ivresse subtile
Vous me direz alors les goûts sont variables
Les dames quelquefois de rage sont capables
Ah! Messieurs c’est à vous de deviner ces choses
Qui font les corps unis par une apothéose
C’est la conjugaison d’envies complémentaires
Qui fait la chasteté vertu déficitaire
Et les moments exquis qui mènent aux accords
Laissent le cœur ému quand s’entendent les corps.
Parfois l’esprit ressent un sentiment bizarre
D’attachement subtil chaque étreinte se pare
De ce feu intérieur causant une brûlure
Qui unit les amants pour la grande aventure.
C’est l’idéale fin des croisades des sens
Le bonheur découvert devient incandescence
L’envie d’appartenir se fait prioritaire
Et l’on passe sa vie à ne jamais déplaire.
Mesdames vous le savez l'homme naquit puceau
État disparaissant au cours d’un doux sursaut
Eve depuis longtemps sut présenter le fruit
Qui dès le premier jour fit que l’on vous poursuit.
Mais l’affaire est complexe et il faut l’attirance
Pour octroyer aux sexes d’égales connivences
Les goûts et les couleurs dans leurs diversités
Induisent sottement des inégalités
Parfois pour un regard une dame exaspère
Une autre a la beauté qui fait que l’on espère
Mais dans l’indifférence ne laissent pas certaines
Provoquant des désirs qui forment une chaîne.
Or Il faut acquérir quelque discernement
On ne plaît pas d’un coup avec un compliment
De fines analyses au charme sans excès
Font délicatement accéder au succès.
Ne vous entêtez pas si le courant ne passe
L’opiniâtre borné mécontente ou agace
Et sachez bien messieurs que la séduction
Ne saurait exister sans concertation.
Méfiez vous des sens ils régissent la vie
Vous ne séduirez pas sans une tendre envie
En plaisant simplement en étant véritables
Des accords en commun deviennent délectables
Les dames en général aiment les préambules
Et la diplomatie de celui qui postule
À des enchantements pour de communs partages
Doit accorder du temps aux délicats hommages.
Mais le parfait accord exigeant un peu d’art
Devra se déceler dès le premier regard
Et l’esprit éprouvant le besoin d’un échange
Doit deviner du corps le sentiment étrange
Si l’étincelle vient et si le cœur s’embrase
Le penchant naturel précise son emphase
Car si les théories se limitent aux espoirs
Aux pratiques d’amour on ne saurait surseoir
Le feu entretenu d’élégantes façons
Se souvient aisément des plaisantes leçons
Où les désirs de l’autre exaltant l’attirance
Savent donner du temps à la concupiscence.
D’un trop d’activités évitant la sottise
Il faut de la lenteur suivre la pente exquise
Se laisser imposer des dames l’exigence
Qui n’aiment s’enflammer qu’avec intelligence
Car si l’emballement se montre nécessaire
Il se doit tempérer afin de mieux vous plaire
Et en sachant céder à l’éblouissement
L’échange sensuel devient couronnement.
Quand d’attente impossible un bonheur corporel
Choisit le dénouement immédiat et charnel
Il faut garder sagesse et revoir s’il le faut
Le bonheur corporel sous un aspect nouveau
Ciseler les détails de ces feux délicats
Qui vous font découvrir la folie pas à pas
Revoir les préférences les adresses tactiles
Qui donneront le la à l’ivresse subtile
Vous me direz alors les goûts sont variables
Les dames quelquefois de rage sont capables
Ah! Messieurs c’est à vous de deviner ces choses
Qui font les corps unis par une apothéose
C’est la conjugaison d’envies complémentaires
Qui fait la chasteté vertu déficitaire
Et les moments exquis qui mènent aux accords
Laissent le cœur ému quand s’entendent les corps.
Parfois l’esprit ressent un sentiment bizarre
D’attachement subtil chaque étreinte se pare
De ce feu intérieur causant une brûlure
Qui unit les amants pour la grande aventure.
C’est l’idéale fin des croisades des sens
Le bonheur découvert devient incandescence
L’envie d’appartenir se fait prioritaire
Et l’on passe sa vie à ne jamais déplaire.
