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C’était pendant l’horreur d’une profonde nuit
La République fut éveillée par un bruit
On entendit les pleurs de Marianne livide
Ne pouvant s’appuyer que sur des urnes vides...
Il faudrait bien qu’un jour le désespoir s’arrête
Que l’humble citoyen ne soit plus dépendant
D’innombrable cupides qui se payent sa tête
Qui font de son pays un éternel perdant.
Leurs mots sont des façades cachant de l’ignorance
Nos derniers politiques incapables d’ouvrages
Promettent sans tenir, faussent nos espérances
Pensant que de gueuler justifie leur suffrage.
Et depuis cette rose qui n’eut que des épines
La république hélas se change en dictature
En se laissant doubler par toutes ses voisines
La France est gouvernée avec désinvolture.
De prétendants sournois un pays peut souffrir
Mais son sort ne peut être issu d’un petit nombre
La voix référendaire est un choix à offrir
Si au soleil d’état trop de nuls font de l’ombre.
Certes les temps sont durs mais pour les alléger
Mêlons nous tout d’abord de ce qui nous regarde
Dépendre trop des autres c’est se faire piéger
D’inutiles progrès nous firent baisser la garde.
Et un salmigondis de maintes divergences
Fut vite favorable au chaos politique
L’Europe est un rébus où par outrecuidance
On entra sans respect de l’opinion civique.
Quand le coq national se dresse sur ses ergots
Afin d’impressionner son petit voisinage
Au lieu de mieux tenir le cap de son bateau
Il amuse les grands de ses enfantillages.
Car le chacun pour soi est la règle absolue
L’autre qui est voisin n’est jamais un ami
L’aider n’a d’intérêt qu’en un accord conclu
Ou un désavantage est bien souvent permis
Bref il faudrait qu’un jour on freine les sottises
Que la raison du peuple ait un juste partage
Que des partis utiles aient commune entreprise
Que les rats inutiles soient privés de fromage.
Car la chose publique n’est pas l’oligarchie
On ne doit pas garder des meneurs sans parole
Réélire des bavards menant à l’anarchie
Sous le règne de sots république s’étiole.
Et s’il faut des efforts pour retrouver le nord
Trions les solutions par voie référendaire
Obligeons les partis à de communs accords
Virons les excessifs ne pensant qu’à nous traire.
Et sans multiplier les sectes politiques
Ceux qui contestent tout et qui ne peuvent rien
Refusons la paroles aux crieurs anarchiques
Rendons la quand il faut à tous les citoyens
Vous me direz sans doute de quoi vous mêlez vous
Votez tout simplement reste la bonne voie
Hélas l’abstention prouve que le dégoût
A fait fuir les trompés dépourvus de bons choix
Car le coq national a perdu son prestige
En caquetant trop loin hors de sa basse-cour
Le moindre des sujets devenant un litige
Élire des compétences est l’ unique recours.
Nous eûmes à l’évidence un excès de nullards
Désireux d’un pouvoir qu’ils ne surent exercer
Et l’éradication des gueulards des bavards
Pourrait voir notre sort aisément s’inverser.
Une passivité excessive est un mal
Dire ce que l’on ressent peur éclairer demain
Minorité de votes est notre plus grand mal
En écoutant les sots on doute de demain.
Exploiter les idées après juste analyse
Ne nécessite pas un excès de partis
Mais choisir des élus capables de maîtrise
Reste le seul cadeau qu’espère le pays.
La République fut éveillée par un bruit
On entendit les pleurs de Marianne livide
Ne pouvant s’appuyer que sur des urnes vides...
Il faudrait bien qu’un jour le désespoir s’arrête
Que l’humble citoyen ne soit plus dépendant
D’innombrable cupides qui se payent sa tête
Qui font de son pays un éternel perdant.
Leurs mots sont des façades cachant de l’ignorance
Nos derniers politiques incapables d’ouvrages
Promettent sans tenir, faussent nos espérances
Pensant que de gueuler justifie leur suffrage.
Et depuis cette rose qui n’eut que des épines
La république hélas se change en dictature
En se laissant doubler par toutes ses voisines
La France est gouvernée avec désinvolture.
De prétendants sournois un pays peut souffrir
Mais son sort ne peut être issu d’un petit nombre
La voix référendaire est un choix à offrir
Si au soleil d’état trop de nuls font de l’ombre.
Certes les temps sont durs mais pour les alléger
Mêlons nous tout d’abord de ce qui nous regarde
Dépendre trop des autres c’est se faire piéger
D’inutiles progrès nous firent baisser la garde.
Et un salmigondis de maintes divergences
Fut vite favorable au chaos politique
L’Europe est un rébus où par outrecuidance
On entra sans respect de l’opinion civique.
Quand le coq national se dresse sur ses ergots
Afin d’impressionner son petit voisinage
Au lieu de mieux tenir le cap de son bateau
Il amuse les grands de ses enfantillages.
Car le chacun pour soi est la règle absolue
L’autre qui est voisin n’est jamais un ami
L’aider n’a d’intérêt qu’en un accord conclu
Ou un désavantage est bien souvent permis
Bref il faudrait qu’un jour on freine les sottises
Que la raison du peuple ait un juste partage
Que des partis utiles aient commune entreprise
Que les rats inutiles soient privés de fromage.
Car la chose publique n’est pas l’oligarchie
On ne doit pas garder des meneurs sans parole
Réélire des bavards menant à l’anarchie
Sous le règne de sots république s’étiole.
Et s’il faut des efforts pour retrouver le nord
Trions les solutions par voie référendaire
Obligeons les partis à de communs accords
Virons les excessifs ne pensant qu’à nous traire.
Et sans multiplier les sectes politiques
Ceux qui contestent tout et qui ne peuvent rien
Refusons la paroles aux crieurs anarchiques
Rendons la quand il faut à tous les citoyens
Vous me direz sans doute de quoi vous mêlez vous
Votez tout simplement reste la bonne voie
Hélas l’abstention prouve que le dégoût
A fait fuir les trompés dépourvus de bons choix
Car le coq national a perdu son prestige
En caquetant trop loin hors de sa basse-cour
Le moindre des sujets devenant un litige
Élire des compétences est l’ unique recours.
Nous eûmes à l’évidence un excès de nullards
Désireux d’un pouvoir qu’ils ne surent exercer
Et l’éradication des gueulards des bavards
Pourrait voir notre sort aisément s’inverser.
Une passivité excessive est un mal
Dire ce que l’on ressent peur éclairer demain
Minorité de votes est notre plus grand mal
En écoutant les sots on doute de demain.
Exploiter les idées après juste analyse
Ne nécessite pas un excès de partis
Mais choisir des élus capables de maîtrise
Reste le seul cadeau qu’espère le pays.