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Charles
Charles, le Charles,
Son œuvre est un éclat de vie aux quatre vents,
Qui vous pète à la gueule en un bouquet d’iambes
Sur le chemin du cœur, il est des crocs-en-jambe
Que son pardon apaise et son rire détend.
Charles, le Charles,
C’est l’ami qu’on attend parfois toute une vie;
Il s’accoude avec vous au comptoir des beaux vers
Quand sonne le sonnet en des pays ouverts,
Sur la toile étoilée où sa main se délie…
Charles, le Charles
Il est riche bien plus que tous ces « pôvres » gens
Agrippés au désir d’avoir avant que d’être,
Entassant leur argent sans savoir où le mettre.
Car son trésor n’est pas au dehors mais dedans…
Charles, toi Charles,
Mon véritable Ami, rappelle-toi ces heures
Où je venais te voir dessiner au crayon,
La tête dans l’azur, retenant la leçon
De l’art, et discutant sagesse en ta demeure.
Charles, ô Charles,
Dix années se sont tues mais rien ne semble vide.
Dans le réseau du temps, le fil n’a pas rompu
Et nos êtres liés, comme deux éperdus,
Retissent chaque jour les liens sans une ride…
Charles, le Charles,
Son œuvre est un éclat de vie aux quatre vents,
Qui vous pète à la gueule en un bouquet d’iambes
Sur le chemin du cœur, il est des crocs-en-jambe
Que son pardon apaise et son rire détend.
Charles, le Charles,
C’est l’ami qu’on attend parfois toute une vie;
Il s’accoude avec vous au comptoir des beaux vers
Quand sonne le sonnet en des pays ouverts,
Sur la toile étoilée où sa main se délie…
Charles, le Charles
Il est riche bien plus que tous ces « pôvres » gens
Agrippés au désir d’avoir avant que d’être,
Entassant leur argent sans savoir où le mettre.
Car son trésor n’est pas au dehors mais dedans…
Charles, toi Charles,
Mon véritable Ami, rappelle-toi ces heures
Où je venais te voir dessiner au crayon,
La tête dans l’azur, retenant la leçon
De l’art, et discutant sagesse en ta demeure.
Charles, ô Charles,
Dix années se sont tues mais rien ne semble vide.
Dans le réseau du temps, le fil n’a pas rompu
Et nos êtres liés, comme deux éperdus,
Retissent chaque jour les liens sans une ride…