Hors ligne
Cœur d’Encre
« Il faut savoir écouter son cœur battre »
J. Lou
1.
Tu règnes dès l’aube sur le jour amoureux,
Louant notre épopée sous un azur heureux;
Je loue également les sirènes amères
De ton regard fait de leurs chants mystérieux
Ô Fatalité de Bonheur loin des chimères !
J’épouse la beauté de tes yeux merveilleux
Dont le bonheur infernal offert par les Cieux.
Je cueillis ton souris, - ô trésor délicieux,
Que le beau Narcisse jalouserait - en secret !
Et comme un bohémien, j'irai loin sans regret
En mêlant cette rose à nos soirs langoureux !
Tu règnes dès l'aube sur le jour amoureux !
2.
Fi du triste Rimbaud -
Fuis et Baudelaire et leurs chemins furieux
Poésie, loin du temps, des hymnes sulfureux !
Vers le chemin du beau,
Ne déserte jamais, ô plume les nuées !
Les petits nuages sont-ils ange ou démon
Je suis cet albatros sans fiel désuet
Que je puisse acclamer du Parnasse mon nom !
Tu règnes dès l’aube sur le jour amoureux,
Louant notre épopée sous un azur heureux;
Je loue également les sirènes amères
De ton regard fait de leurs chants mystérieux
Ô Fatalité de Bonheur loin des chimères !
J’épouse la beauté de tes yeux merveilleux
Dont le bonheur infernal offert par les Cieux.
Je cueillis ton souris, - ô trésor délicieux,
Que le beau Narcisse jalouserait - en secret !
Et comme un bohémien, j'irai loin sans regret
En mêlant cette rose à nos soirs langoureux !
Tu règnes dès l'aube sur le jour amoureux !
2.
Fi du triste Rimbaud -
Fuis et Baudelaire et leurs chemins furieux
Poésie, loin du temps, des hymnes sulfureux !
Vers le chemin du beau,
Ne déserte jamais, ô plume les nuées !
Les petits nuages sont-ils ange ou démon
Je suis cet albatros sans fiel désuet
Que je puisse acclamer du Parnasse mon nom !
3.
Que tu m’emportes loin ! Loin du chemin des tristes !
Et que tu défies le couchant quand le soir tombe !
Mais vrai qu’à ta pensée, mon cœur chante et palpite !
Je suis Dante vivant un pas dedans la tombe !
Je lis le poème de ton corps Vénusté
Je l’explore et le loue tel l'astre et son bonjour !
Un rayon dans mon cœur à l’encre de velours !
Et j'écris de mes doigts la sensualité.
Mais vrai, je m’incline face à tant de beautés;
Tes formes et tes rondeurs mettent mon cœur à nu!
Confessant à Satan toute ta nudité,
Pareil à un gisant, volupté qui se mue.
Qu’éclatent dans les cieux, l'aurore et son bonjour !
Notre premier baiser, ce péché me démange
Un Soleil dans ma Vie à la lueur du jour
Une fleur du bonheur, dedans mon cœur un ange !
Que tu m’emportes loin ! Loin du chemin des tristes !
Et que tu défies le couchant quand le soir tombe !
Mais vrai qu’à ta pensée, mon cœur chante et palpite !
Je suis Dante vivant un pas dedans la tombe !
Je lis le poème de ton corps Vénusté
Je l’explore et le loue tel l'astre et son bonjour !
Un rayon dans mon cœur à l’encre de velours !
Et j'écris de mes doigts la sensualité.
Mais vrai, je m’incline face à tant de beautés;
Tes formes et tes rondeurs mettent mon cœur à nu!
Confessant à Satan toute ta nudité,
Pareil à un gisant, volupté qui se mue.
Qu’éclatent dans les cieux, l'aurore et son bonjour !
Notre premier baiser, ce péché me démange
Un Soleil dans ma Vie à la lueur du jour
Une fleur du bonheur, dedans mon cœur un ange !
J. Lou
Le 20 Novembre 2014
Corrigé le 27 Juin 2020