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Combattants de l'Ombre 1
Liberté, ô liberté chérie, tu es ici,
J’aime être à tes côtés, tu resplendis.
Or, tu n’as pas toujours été là,
Le siècle dernier, ce n’était pas le cas.
Nous étions sous le joug des nazis,
C’était clairement le contraire du paradis.
La vie pouvait être très dure,
Toutes les conditions étaient totalement rudes.
On nous pensait finis, totalement perdus ,
Mais voilà que débarquent de parfaits inconnus.
Des hommes, des femmes et des enfants,
Ont fini par devenir de vrais résistants.
Certains âgés de moins de 20 ans,
Combattaient pour les petits et les grands.
Les combattants de l’Ombre, des gens comme vous,
Sans eux il n’y aurait peut-être pas eu de nous.
Nous devons pour toujours nous souvenir,
Certains ont dû rendre leur dernier soupir.
Ils ont mené le grand combat,
Soyons fiers de ces très grands soldats !
Combattants de l'Ombre 2
Nous dansions à Bazas heureux,
Entourés à la Saint-Jean de gens chaleureux.
Je ne pourrais jamais l’oublier,
Tes cheveux bouclés et ta beauté m'ensorcelaient.
Je voulais que ce moment soit éternel,
Tu me rendais tellement passionnel.
Je nous imaginais vieillir ensemble,
J’avais enfin trouvé une personne qui me ressemble.
Mais soudain le chant du coq me réveilla,
Cela faisait déjà des mois que tu n'étais plus là.
Sous prétexte que tu sois une juive,
Les nazis lancèrent l'offensive,
Ils te prirent ta famille et toi,
Pour vous emmener à L'Est, loin de moi.
Chaque jour après ton départ,
J'ai juré que je résisterais contre ces couards,
Mes amis et moi feront du mal à leurs caboches,
Nous serons les petits cailloux dans les godasses de ses Boches.
En attendant avec impatience ton retour,
Ton grand blond leur jouera avec malice des mauvais tours.
Je pensais naïvement qu’après la guerre je te retrouverais,
Comment pouvais-je savoir que la réalité m’horrifierait ?
Quand la Marianne retrouvait sa gloire d'Antan,
Grâce à ces hommes et femmes de l'Ombre,
Je pensais te retrouver au bal en chantant,
Éclairée de la lune, dans la pénombre.
Mais on vint me prévenir des atrocités odieuses,
Que les nazis avaient ordonné contre vous,
Les Juifs, des gens tout aussi ordinaires que nous.
Mes larmes rendaient mes joues pluvieuses.
Comment des hommes peuvent-ils être aussi cruels ?
Pourquoi t'avoir envoyé vers l'Éternel ?
Tu étais ma seule joie de vivre,
Sans toi, je ne pourrais plus rire,
J'espère qu'un jour ils paieront,
Et qu'ils laveront cet affront.
Je consacrerai contre eux ma vie,
Jamais ils ne l'emporteront au paradis.
Nous étions destinés à vivre heureux,
Je vivrais sans toi très malheureux.
Cette histoire que je viens de vous conter,
Elle aurait pu malheureusement arriver.
La haine viscérale de l’autre est clairement impensable,
Imaginez que cela se reproduise aujourd’hui semble improbable.
Constitués de sang et de chair, nous respirons tous le même air,
Nous sommes tous différents mais en même temps si similaires.
Humains, enfants d'un père et d'une mère,
Qui nous ont appris à aimer,
Cela ne devrait jamais se répéter.
C’est dans la différence que l’on apprend le mieux,
Et comme disait le Miséricordieux,
Transmettez la tolérance et l’amour aux enfants,
Pour qu’ils puissent vivre dans la paix en grandissant.
Liberté, ô liberté chérie, tu es ici,
J’aime être à tes côtés, tu resplendis.
Or, tu n’as pas toujours été là,
Le siècle dernier, ce n’était pas le cas.
Nous étions sous le joug des nazis,
C’était clairement le contraire du paradis.
La vie pouvait être très dure,
Toutes les conditions étaient totalement rudes.
On nous pensait finis, totalement perdus ,
Mais voilà que débarquent de parfaits inconnus.
Des hommes, des femmes et des enfants,
Ont fini par devenir de vrais résistants.
Certains âgés de moins de 20 ans,
Combattaient pour les petits et les grands.
Les combattants de l’Ombre, des gens comme vous,
Sans eux il n’y aurait peut-être pas eu de nous.
Nous devons pour toujours nous souvenir,
Certains ont dû rendre leur dernier soupir.
Ils ont mené le grand combat,
Soyons fiers de ces très grands soldats !
Combattants de l'Ombre 2
Nous dansions à Bazas heureux,
Entourés à la Saint-Jean de gens chaleureux.
Je ne pourrais jamais l’oublier,
Tes cheveux bouclés et ta beauté m'ensorcelaient.
Je voulais que ce moment soit éternel,
Tu me rendais tellement passionnel.
Je nous imaginais vieillir ensemble,
J’avais enfin trouvé une personne qui me ressemble.
Mais soudain le chant du coq me réveilla,
Cela faisait déjà des mois que tu n'étais plus là.
Sous prétexte que tu sois une juive,
Les nazis lancèrent l'offensive,
Ils te prirent ta famille et toi,
Pour vous emmener à L'Est, loin de moi.
Chaque jour après ton départ,
J'ai juré que je résisterais contre ces couards,
Mes amis et moi feront du mal à leurs caboches,
Nous serons les petits cailloux dans les godasses de ses Boches.
En attendant avec impatience ton retour,
Ton grand blond leur jouera avec malice des mauvais tours.
Je pensais naïvement qu’après la guerre je te retrouverais,
Comment pouvais-je savoir que la réalité m’horrifierait ?
Quand la Marianne retrouvait sa gloire d'Antan,
Grâce à ces hommes et femmes de l'Ombre,
Je pensais te retrouver au bal en chantant,
Éclairée de la lune, dans la pénombre.
Mais on vint me prévenir des atrocités odieuses,
Que les nazis avaient ordonné contre vous,
Les Juifs, des gens tout aussi ordinaires que nous.
Mes larmes rendaient mes joues pluvieuses.
Comment des hommes peuvent-ils être aussi cruels ?
Pourquoi t'avoir envoyé vers l'Éternel ?
Tu étais ma seule joie de vivre,
Sans toi, je ne pourrais plus rire,
J'espère qu'un jour ils paieront,
Et qu'ils laveront cet affront.
Je consacrerai contre eux ma vie,
Jamais ils ne l'emporteront au paradis.
Nous étions destinés à vivre heureux,
Je vivrais sans toi très malheureux.
Elle aurait pu malheureusement arriver.
La haine viscérale de l’autre est clairement impensable,
Imaginez que cela se reproduise aujourd’hui semble improbable.
Constitués de sang et de chair, nous respirons tous le même air,
Nous sommes tous différents mais en même temps si similaires.
Humains, enfants d'un père et d'une mère,
Qui nous ont appris à aimer,
Cela ne devrait jamais se répéter.
C’est dans la différence que l’on apprend le mieux,
Et comme disait le Miséricordieux,
Transmettez la tolérance et l’amour aux enfants,
Pour qu’ils puissent vivre dans la paix en grandissant.