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Laurie Barmore
Peut-être verra t on là-haut, dans les yeux
d'un ange resplendissant,
tout ce qui en nous respirait d'air frais.
Par des empreintes encore tangibles,
intactes, aux caresses des souvenirs.
Les choses impossibles, sont l'onde restée vierge,
attendant l'étoile dans son nid, son miroir, son reflet.
Seule la lune éclaire nos nuits, rendant
plus brillante la nudité fragile de notre ressenti.
Pour des raisons qui ne s'accordent pas
toujours avec les mots, nos désirs, sont des notes
musicales, ils ne peuvent trouver un sens
dans le refus d'accepter une finalité.
Les pauses n'ont fait que retarder cette fin,
comme on ouvre un livre, marqué à la page
remplie de mots, attendant de vivre sous
le regard, cet instrument qui joue de son archet.
J'ai, par conséquent, rouvert le livre, en
commençant par la dernière page,
de ce fait, je suis retourné
au début de mon histoire, ainsi rien ne meurt vraiment.
Probablement alors, se dessinera un instant,
dans les prunelles d'un jeune ange resplendissant,
ce lien naissant, porteur d'un fil d'argent, la cause première
créatrice dans les actes, comme chaque fois qu'une
décision façonne la vague, au-delà de la raison,
Enfin peut être, on peut tout imaginer.
Rien ne naît quand l'oeuf n'est plus couvé,
Sauf si l'horizon laisse entrevoir un scintillement,
Celui qui agite l'onde, sur le miroir des sentiments.
Moïse
d'un ange resplendissant,
tout ce qui en nous respirait d'air frais.
Par des empreintes encore tangibles,
intactes, aux caresses des souvenirs.
Les choses impossibles, sont l'onde restée vierge,
attendant l'étoile dans son nid, son miroir, son reflet.
Seule la lune éclaire nos nuits, rendant
plus brillante la nudité fragile de notre ressenti.
Pour des raisons qui ne s'accordent pas
toujours avec les mots, nos désirs, sont des notes
musicales, ils ne peuvent trouver un sens
dans le refus d'accepter une finalité.
Les pauses n'ont fait que retarder cette fin,
comme on ouvre un livre, marqué à la page
remplie de mots, attendant de vivre sous
le regard, cet instrument qui joue de son archet.
J'ai, par conséquent, rouvert le livre, en
commençant par la dernière page,
de ce fait, je suis retourné
au début de mon histoire, ainsi rien ne meurt vraiment.
Probablement alors, se dessinera un instant,
dans les prunelles d'un jeune ange resplendissant,
ce lien naissant, porteur d'un fil d'argent, la cause première
créatrice dans les actes, comme chaque fois qu'une
décision façonne la vague, au-delà de la raison,
Enfin peut être, on peut tout imaginer.
Rien ne naît quand l'oeuf n'est plus couvé,
Sauf si l'horizon laisse entrevoir un scintillement,
Celui qui agite l'onde, sur le miroir des sentiments.
Moïse
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