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Poème Confession à Hermance

Peniculo

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Je suis
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#1
Confession à Hermance


Mon arthrite rhumatoïde
Rendant mon désir moins avide
Il faut choisir les moments où
Une accalmie me rend le goût
De batifolages capables
De me montrer fort agréable.
Mais les désirs ont une histoire
Qui n’ont pas éternelle gloire
Et les délices répétitives
Sont désormais à la dérive
Aussi faut-il que coïncide
Une vigueur qui se décide
Avec l’appétit féminin
D’un intermède léonin
Quoique de ma belle crinière
On ne voit plus que la clairière.
Donc si le jour est favorable
Que vos sens se sentent capables
Que mon corps ne souffre plus guère
Et que nos envies persévèrent
Unissons nos capacités
Pour quelques familiarités
Et pratiquons avec douceur
Ce qui jadis ne fut qu’ardeur.
Quelle chance ma chère amante
Vous devenez entreprenante
Ce qui incite ma nature
À parfaire notre aventure.
Hélas ne comptez pas ma chère
Si vivement je récupère
Que je double ma performance
Car l’âge ayant ses exigences
Je puis encore de gourmandise
Visiter votre terre promise
Mais je crains ne pas revenir
À la position du désir
Avant quelques jours ma très chère.
Le temps est un maître sévère.
Il empêche que le vent se lève
Il finit par tuer ses élèves .

Contentons nous de souvenirs
Où nos désirs et nos plaisirs
Avaient une jeune exubérance
Il nous reste l’amour Hermance !
Aussi ne tardons pas madame
À souffler sur la moindre flamme
On trouve parfois des tisons
Brûlant au même diapason !










 
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21 Octobre 2018
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Points
173
Localité
France
Je suis
Une femme
Hors ligne
#2
Confession à Hermance


Mon arthrite rhumatoïde
Rendant mon désir moins avide
Il faut choisir les moments où
Une accalmie me rend le goût
De batifolages capables
De me montrer fort agréable.
Mais les désirs ont une histoire
Qui n’ont pas éternelle gloire
Et les délices répétitives
Sont désormais à la dérive
Aussi faut-il que coïncide
Une vigueur qui se décide
Avec l’appétit féminin
D’un intermède léonin
Quoique de ma belle crinière
On ne voit plus que la clairière.
Donc si le jour est favorable
Que vos sens se sentent capables
Que mon corps ne souffre plus guère
Et que nos envies persévèrent
Unissons nos capacités
Pour quelques familiarités
Et pratiquons avec douceur
Ce qui jadis ne fut qu’ardeur.
Quelle chance ma chère amante
Vous devenez entreprenante
Ce qui incite ma nature
À parfaire notre aventure.
Hélas ne comptez pas ma chère
Si vivement je récupère
Que je double ma performance
Car l’âge ayant ses exigences
Je puis encore de gourmandise
Visiter votre terre promise
Mais je crains ne pas revenir
À la position du désir
Avant quelques jours ma très chère.
Le temps est un maître sévère.
Il empêche que le vent se lève
Il finit par tuer ses élèves .


Contentons nous de souvenirs
Où nos désirs et nos plaisirs
Avaient une jeune exubérance
Il nous reste l’amour Hermance !
Aussi ne tardons pas madame
À souffler sur la moindre flamme
On trouve parfois des tisons
Brûlant au même diapason !











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