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Poème Dans les bras de maman...

Storgé

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femme-illustration-vectorielle-de-cou.jpg
Je me souviens de mon enfance
Et du silence ou j'avais faim
De sentir la douceur de tes mains
Sous ton regard d'
indifférence

Assis au bord de la
fenêtre
Je me rappelle ce petit être
Si replié et presque oublié
Comme un ombre effacée

Que j'en perds le souvenir
De son étang plein de dormir
Et de tant d'espoirs
étouffés
éteint de tout ce qui est gai

Il se battait sans qu'on le voit
Cohabitant avec sa
détresse
A chercher dans quelque voie
Un arc en ciel de jeunesse

Les façades qu'il se faisait

Derrière ce qu'il était
A avaler toutes ses peurs
Et si peu de courage au cœur

Ce besoin de lutte de la bête
Contre les dégouts qu'on lui donne
Ces douleurs du ventre et de la tête.
Aujourd'hui je te pardonne...


Maman




Dessin au trait continu. Portrait abstrait d'une vue de côté de femme. Illustration vectorielle de couleur douce
 

Moïse Wolff

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#2
Bonsoir Richard, un poème profond qui semble révéler d'anciennes blessures encore rougeoyantes !

Excellente soirée

Moïse
 
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#3
Voir la pièce jointe 24484
Je me souviens de mon enfance
Et du silence ou j'avais faim
De sentir la douceur de tes mains
Sous ton regard d'
indifférence

Assis au bord de la fenêtre
Je me rappelle ce petit être
Si replié et presque oublié
Comme un ombre effacée

Que j'en perds le souvenir
De son étang plein de dormir
Et de tant d'espoirs
étouffés
éteint de tout ce qui est gai

Il se battait sans qu'on le voit
Cohabitant avec sa
détresse
A chercher dans quelque voie
Un arc en ciel de jeunesse


Les façades qu'il se faisait
Derrière ce qu'il était
A avaler toutes ses peurs
Et si peu de courage au cœur


Ce besoin de lutte de la bête
Contre les dégouts qu'on lui donne
Ces douleurs du ventre et de la tête.
Aujourd'hui je te pardonne...


Maman




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Merci Richard pour ce texte émouvant qui me touche profondement
Les blessures de l'enfance ne s'oublie t pas
Bien amicalement
Gaby
 

jeanyves53

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#4
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Je me souviens de mon enfance
Et du silence ou j'avais faim
De sentir la douceur de tes mains
Sous ton regard d'
indifférence

Assis au bord de la fenêtre
Je me rappelle ce petit être
Si replié et presque oublié
Comme un ombre effacée

Que j'en perds le souvenir
De son étang plein de dormir
Et de tant d'espoirs
étouffés
éteint de tout ce qui est gai

Il se battait sans qu'on le voit
Cohabitant avec sa
détresse
A chercher dans quelque voie
Un arc en ciel de jeunesse


Les façades qu'il se faisait
Derrière ce qu'il était
A avaler toutes ses peurs
Et si peu de courage au cœur


Ce besoin de lutte de la bête
Contre les dégouts qu'on lui donne
Ces douleurs du ventre et de la tête.
Aujourd'hui je te pardonne...


Maman




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La blessure de l'abandon d'amour semble bien vive ! le pardon permet de vivre dit on! Bravo!
Amitiés, Jean-Yves
 

Storgé

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#5
Bonsoir Richard, un poème profond qui semble révéler d'anciennes blessures encore rougeoyantes !

Excellente soirée

Moïse
.
Merci Richard pour ce texte émouvant qui me touche profondement
Les blessures de l'enfance ne s'oublie t pas
Bien amicalement
Gaby
La blessure de l'abandon d'amour semble bien vive ! le pardon permet de vivre dit on! Bravo!
Amitiés, Jean-Yves
Je retiens la notion du pardon à cette maman..
Je retiens aussi la peine que j'ai ressenti dans ces mots..
Mais je retiens avant tout la beauté de ta poésie...
Amitiés.Fanny.
merci pour vos commentaires des plus délicats....
Ce n’est pas toujours facile d’être un enfant quand on ne lui remplit pas son cœur..
 

Storgé

Grand poète
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#6
De très belles et dures images qui me parlent bien plus que des mots mais un poème magnifique par sa sincérité et qui, par le partage que tu en fais nous parle et nous apporte beaucoup pour certains, pardonner c'est se pardonner soi-même également.

Merci.

Amicalement.

Benoît.
En effet pardonner c’est vaincre nos peurs nos craintes et angoisses...
Merci Mjöllnir
 
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