Hors ligne
Décembre me courtise, il me propose une danse :
<<Des pas enchantés sous un air mélancolique ?
Promis on ne parlera ni d’amour ni de politique
Quant à la langueur du vent qui lentement s’élance
Elle traversera nos fins vêtements de soie
Et ton ombre, « le corps de ton âme » ;*
Partira sillonner le monde, comme ta morbide flamme
Et les néons dans la nuit s’habilleront de joie
Mais ton cœur inhérent, préférera le vide…
Près duquel aisément tu jouis en pleine ombre.
Depuis le placenta, tu sens que le monde t’encombre
Je l’ai vu car pour toi, l’Hiver, au milieu du vide
Est, ce que le vent est à la canicule
Prends ma main mais ce à tes dépens
On oubliera le froid, et même l’horloge du temps
Viens dans mes bras et surtout ne simule
Guère. Vois le vide que je t’offre
Enrobé de poudres immaculées
Qui tombent tout droit des nuages damnés
Viens dans mes bras vois le vide que je t’offre>>.
*référence à Oscar wild dans le pêcheur et son âme.
<<Des pas enchantés sous un air mélancolique ?
Promis on ne parlera ni d’amour ni de politique
Quant à la langueur du vent qui lentement s’élance
Elle traversera nos fins vêtements de soie
Et ton ombre, « le corps de ton âme » ;*
Partira sillonner le monde, comme ta morbide flamme
Et les néons dans la nuit s’habilleront de joie
Mais ton cœur inhérent, préférera le vide…
Près duquel aisément tu jouis en pleine ombre.
Depuis le placenta, tu sens que le monde t’encombre
Je l’ai vu car pour toi, l’Hiver, au milieu du vide
Est, ce que le vent est à la canicule
Prends ma main mais ce à tes dépens
On oubliera le froid, et même l’horloge du temps
Viens dans mes bras et surtout ne simule
Guère. Vois le vide que je t’offre
Enrobé de poudres immaculées
Qui tombent tout droit des nuages damnés
Viens dans mes bras vois le vide que je t’offre>>.
*référence à Oscar wild dans le pêcheur et son âme.
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