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Déplaisante amertume
Le monde est à vomir je le trouve dégueulasse
On y voit des enfants devenir assassins
Des prometteurs de mieux pour de faux lendemains,
Des êtres sans espoir, et que la faim terrasse
Le peuple s’est changé il se fait populace
Ignorant l’autre humain, aveugle à son voisin,
Et ne pensant qu’à lui, il ignore le destin
De cette humanité que la folie menace.
Le progrès s’est chargé de corrompre le monde
Et de l’informatique on a fait du chômage
À vouloir toujours plus sans utile partage
Certaines pénuries sont misères profondes.
Dieu s’est fait remplacer et règne la finance
L’homme vient l’adorer en étant son esclave
Quelques privilégiés la garde en leur conclave
Et tirent les ficelles de notre déchéance.
La justice du monde a perdu sa boussole
On peut l’influencer par le pouvoir ou l’or
Le faible est plus puni que le serait le fort
La balance d’antan dans l’erreur dégringole
Et cette société affreuse et permissive,
Détruisant nos racines nos clochers, notre histoire
Ne dirige plus rien devient blasphématoire
Ayant pour échanger le déni, l’invective.
Se plier à des règles élémentaires et saines
Est refusé de tous on se veut libertaire
L’anarchie acceptée est le dépositaire
D’un monde sans amour où mûrissent les haines.
Je suis de ceux qui sont à l’abri des malheurs
Je partirai avant que vienne le désastre
Quand on vous rayera du terrestre cadastre
Vous pleurerez trop tard vos fatales erreurs
Il faut de l’humanisme et de l’humanité
Rétablir quelques bases de mondiale importance
Conserver nos attaches, opposer résistance
À tout ce qui détruit l’homme et la vérité
Qui possèdent le monde jusqu’à l’exubérance
Détruire les privilèges et cette tolérance
Qui rendent malhonnêtes les guides du pays.
Sinon gare à l’enfer établi sur la terre
Le manque d’énergie étouffant le travail
Les pays décidant de mettre fin au bail
Et la faim devenant une cause de guerre.
S’il venait du destin l’imprévisible mal
Il faudrait que le monde à la fin s’organise
Qu’il agisse regroupé d’une façon précise
Et que de vains cochers ne tuent pas leur cheval.
Vous n’y couperez pas il faut l’intelligence
Des choix laissant possible la lueur d’avenir
Pousser tout extrémisme au plus vite à périr
Détester les hâbleurs choisir la compétence.
Le monde est à vomir je le trouve dégueulasse
On y voit des enfants devenir assassins
Des prometteurs de mieux pour de faux lendemains,
Des êtres sans espoir, et que la faim terrasse
Le peuple s’est changé il se fait populace
Ignorant l’autre humain, aveugle à son voisin,
Et ne pensant qu’à lui, il ignore le destin
De cette humanité que la folie menace.
Le progrès s’est chargé de corrompre le monde
Et de l’informatique on a fait du chômage
À vouloir toujours plus sans utile partage
Certaines pénuries sont misères profondes.
Dieu s’est fait remplacer et règne la finance
L’homme vient l’adorer en étant son esclave
Quelques privilégiés la garde en leur conclave
Et tirent les ficelles de notre déchéance.
La justice du monde a perdu sa boussole
On peut l’influencer par le pouvoir ou l’or
Le faible est plus puni que le serait le fort
La balance d’antan dans l’erreur dégringole
Et cette société affreuse et permissive,
Détruisant nos racines nos clochers, notre histoire
Ne dirige plus rien devient blasphématoire
Ayant pour échanger le déni, l’invective.
Se plier à des règles élémentaires et saines
Est refusé de tous on se veut libertaire
L’anarchie acceptée est le dépositaire
D’un monde sans amour où mûrissent les haines.
Je suis de ceux qui sont à l’abri des malheurs
Je partirai avant que vienne le désastre
Quand on vous rayera du terrestre cadastre
Vous pleurerez trop tard vos fatales erreurs
Il faut de l’humanisme et de l’humanité
Rétablir quelques bases de mondiale importance
Conserver nos attaches, opposer résistance
À tout ce qui détruit l’homme et la vérité
Réduire cette injustice accordée aux nantisQui possèdent le monde jusqu’à l’exubérance
Détruire les privilèges et cette tolérance
Qui rendent malhonnêtes les guides du pays.
Sinon gare à l’enfer établi sur la terre
Le manque d’énergie étouffant le travail
Les pays décidant de mettre fin au bail
Et la faim devenant une cause de guerre.
S’il venait du destin l’imprévisible mal
Il faudrait que le monde à la fin s’organise
Qu’il agisse regroupé d’une façon précise
Et que de vains cochers ne tuent pas leur cheval.
Vous n’y couperez pas il faut l’intelligence
Des choix laissant possible la lueur d’avenir
Pousser tout extrémisme au plus vite à périr
Détester les hâbleurs choisir la compétence.
