Hors ligne
Hier au soir au milieu de mes draps,
je rêvais, je t'imaginais en moi.
Hier au soir la fièvre me consumait,
Ô mes tempes battaient de désirs
quand tes mains d'homme sur mon corps,
pétrissaient mes hanches et mes seins.
Ô amour, toi ce lutteur musclé, prenant
garde de ne point briser sa poupée, tu me serrais
contre ton torse palpitant, si fort,
avec tant d'ardeur, de déraisons à peine maitrisées.
Hier, je t'avais dans mes pensées,
ton souffle chaud me confiait ta folie
quand tes lèvres embrassaient mon cou,
Ô ton vit dur prêt à me sonder.
J'ai débarrassé la table de la cuisine,
Cette fois, on ne cassera pas la vaisselle quand
tu me prendras telle quelle, Ô mes fesses
rondes et pleines claqueront sous tes assauts virils,
puis à bout de souffle, tu libéreras
ta blanche semence en mon antre
tout au fond, et jusqu'au duvet de ma chatte.
Pauline
ta blanche semence en mon antre
tout au fond, et jusqu'au duvet de ma chatte.
Pauline