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Dernier vœu politique avant de fuir les urnes !
Le malheur de l’humain c’est d’aimer les menteurs
Même s’ils viennent de loin il est leur auditeur
Et loin de La Fontaine expert en toute fable
Le menteur politique est à tous dommageable.
Or il est un métier où la chose est rentable
La fonction menteur est un poste enviable
Et ainsi on a vu pulluler des voyous
Qui ne tiennent jamais en promettant beaucoup.
Car il faut bien savoir que toute incompétence
Permet de postuler aux rênes de la France
Mais jamais les mauvais ne sont exclus du cirque
Car grasse est la pâtée de l’homme politique.
Aussitôt qu’au pouvoir on contrôle on régule
L’honnête homme se trouve couvert de ridicule
Car l’inégalité et le mensonge prospèrent
Pendant que élus nous cachent la misère.
Or ces gens-là qui sont experts en décadence
Ne subissent jamais de justes remontrances
Et aux urnes d’après ils postulent encore
En mentant à nouveau sans le moindre remord.
Certes il faudrait exclure une horde inutile
Aux voix des plus sonores mais aux idées débiles
Et savoir orienter les efforts nécessaires
Vers un cap bien tenu d’une main salutaire.
La France va se noyer en fange politique
Trop de sots prétendant soigner la république
Il faut des postulants écrivant leurs enjeux
Et qui sans résultat seront exclus du jeu.
Sans pouvoir revenir bouffer dans le poêlon
De Marianne en pleurs qui en a marre des cons .
Que chez nous tout d’abord vienne la discipline
Sans s’occuper du cul des voisins des voisines.
On voit bien que depuis quelques années hélas
Chaque choix national nous fait perdre la face
Quand on n’est pas foutu de bien conduire l’état
Dans les affaires d’autrui on ne s’implique pas.
Le système politique est devenu mélasse
Où la France s’englue en cancre de la classe.
Il faudrait limiter les partis politiques
Ce ne sont que danseuses aux dépenses anarchiques.
Trouver des prétendants dont la moindre culture
Oblige à respecter d’honnêtes mandatures
Avoir une justice aux sentences propices
Au respect de la loi sans juristes complices.
Avoir la charité utile et sans souci
Sans se faire truander par la voyoucratie.
Bref fuyant internet et autres beaux mirages
Sachant lire et compter, en tirer avantage.
Cesser d’alimenter des flots parasitaires
Qui de la république n’ont vraiment rien à faire
Et savoir assister les vrais nécessiteux
Sans tomber dans le piège des systèmes maffieux
Faut-il modifier le nombre des élus
Qui sont consommateurs de quantités d’écus
Pour un travail infime et qui assez souvent
Freinent tous les projets en jaloux ignorants.
Vous me direz sans doute qu’en fonction de mon âge
De temps passés plus riches j’ai vécu l’avantage.
Et oui j’ai admiré la France mise au labeur
Construisant après guerre à nouveau son bonheur.
Et je vois maintenant un peuple qu’on abuse
Qui s’abstient de voter ou qui élit des buses !
Il faudra que ça casse on ne tire rien de bon
Quand c’est l’incompétence qui donne des leçons.
Et avant de partir là ou tout est tranquille
Je voudrais voir un jour un état moins débile
Excluant les menteurs les voleurs les connards
Qui au déclin français prirent une large part.
Voir pour tenir la barre avec intelligence
Des gens qui pour l’état ont quelque bienveillance
Des hommes politiques utiles et réalistes
Sachant mener le peuple sur une bonne piste.
Et châtier les cons qui toujours péremptoires
Viennent chercher des poux sur le dos de l’histoire
Et qui plein d’idées vides et de volonté sotte
Pensant le peuple sot lui tendent une carotte.
Voilà c’est terminé je ne rimerai plus
Sur une France ayant des ignares comme élus
Et je prierai les dieux les anges les démons
Pour que le Coq Gaulois ne soit plus un chapon.
Le malheur de l’humain c’est d’aimer les menteurs
Même s’ils viennent de loin il est leur auditeur
Et loin de La Fontaine expert en toute fable
Le menteur politique est à tous dommageable.
Or il est un métier où la chose est rentable
La fonction menteur est un poste enviable
Et ainsi on a vu pulluler des voyous
Qui ne tiennent jamais en promettant beaucoup.
Car il faut bien savoir que toute incompétence
Permet de postuler aux rênes de la France
Mais jamais les mauvais ne sont exclus du cirque
Car grasse est la pâtée de l’homme politique.
Aussitôt qu’au pouvoir on contrôle on régule
L’honnête homme se trouve couvert de ridicule
Car l’inégalité et le mensonge prospèrent
Pendant que élus nous cachent la misère.
Or ces gens-là qui sont experts en décadence
Ne subissent jamais de justes remontrances
Et aux urnes d’après ils postulent encore
En mentant à nouveau sans le moindre remord.
Certes il faudrait exclure une horde inutile
Aux voix des plus sonores mais aux idées débiles
Et savoir orienter les efforts nécessaires
Vers un cap bien tenu d’une main salutaire.
La France va se noyer en fange politique
Trop de sots prétendant soigner la république
Il faut des postulants écrivant leurs enjeux
Et qui sans résultat seront exclus du jeu.
Sans pouvoir revenir bouffer dans le poêlon
De Marianne en pleurs qui en a marre des cons .
Que chez nous tout d’abord vienne la discipline
Sans s’occuper du cul des voisins des voisines.
On voit bien que depuis quelques années hélas
Chaque choix national nous fait perdre la face
Quand on n’est pas foutu de bien conduire l’état
Dans les affaires d’autrui on ne s’implique pas.
Le système politique est devenu mélasse
Où la France s’englue en cancre de la classe.
Il faudrait limiter les partis politiques
Ce ne sont que danseuses aux dépenses anarchiques.
Trouver des prétendants dont la moindre culture
Oblige à respecter d’honnêtes mandatures
Avoir une justice aux sentences propices
Au respect de la loi sans juristes complices.
Avoir la charité utile et sans souci
Sans se faire truander par la voyoucratie.
Bref fuyant internet et autres beaux mirages
Sachant lire et compter, en tirer avantage.
Cesser d’alimenter des flots parasitaires
Qui de la république n’ont vraiment rien à faire
Et savoir assister les vrais nécessiteux
Sans tomber dans le piège des systèmes maffieux
Faut-il modifier le nombre des élus
Qui sont consommateurs de quantités d’écus
Pour un travail infime et qui assez souvent
Freinent tous les projets en jaloux ignorants.
Vous me direz sans doute qu’en fonction de mon âge
De temps passés plus riches j’ai vécu l’avantage.
Et oui j’ai admiré la France mise au labeur
Construisant après guerre à nouveau son bonheur.
Et je vois maintenant un peuple qu’on abuse
Qui s’abstient de voter ou qui élit des buses !
Il faudra que ça casse on ne tire rien de bon
Quand c’est l’incompétence qui donne des leçons.
Et avant de partir là ou tout est tranquille
Je voudrais voir un jour un état moins débile
Excluant les menteurs les voleurs les connards
Qui au déclin français prirent une large part.
Voir pour tenir la barre avec intelligence
Des gens qui pour l’état ont quelque bienveillance
Des hommes politiques utiles et réalistes
Sachant mener le peuple sur une bonne piste.
Et châtier les cons qui toujours péremptoires
Viennent chercher des poux sur le dos de l’histoire
Et qui plein d’idées vides et de volonté sotte
Pensant le peuple sot lui tendent une carotte.
Voilà c’est terminé je ne rimerai plus
Sur une France ayant des ignares comme élus
Et je prierai les dieux les anges les démons
Pour que le Coq Gaulois ne soit plus un chapon.
