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- SIX-FOURS LES PLAGES
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Il y a eu ces jours fabuleux
Ou nous partions tous les deux
Trainant au « cul » de notre auto
Notre « superbe » bateau !
Ce n’était qu’une petite embarcation
Mais oh, combien nous l’aimions !
Tu l’avais baptisé« le QUINQUA
Tu le domptais , comme un pacha,
Que de pêches miraculeuses
Le long des côtes rocheuses
Que de rires et de chansons
A chaque prise de poissons….
Nous adorions t’accompagner…
Harnachés comme de vrais guerriers,
Nous étions deux ou quatre…
Prêts a combattre
A pêcher le plus grand nombre
De poissons, cachés dans l’ombre,
Mais incontestablement
Tu étais le plus vaillant,
Ta bourriche se remplissait
De rascasses, de castagnoles
Des sars et des carrelets
A chaque prise, doucement, tu rigoles…
Et puis arrive l’heure du casse croute,
Vers le « Rouveau »nous jetons l’ancre,
Heureux , sous le soleil ,on t’écoute,
Toi, faisant preuve d’indulgence
Tu nous félicites, de notre pêche
Alors que ,comparant les bourriches
Nous constatons ,un peu revêche
Qu’il n’y a pas la moindre triche
Le pêcheur, le vrai, le cador
C’est Toi, mon Amour, plein d’humour
Toi qu’amis et famille adorent…
Vers le port du Brusc, doucement
Le « QUINQUA » vogue lentement
A son bord, une urne noire, des fleurs,
Et du chagrin plein les cœurs…,
Un été ....à venir, verra partir
Vers le Rouveau , face a la haute mer
Ces cendres qui me sont si chères….
Chaque parcelle de toi,
Sera gravée en moi !
Chaque souvenir de notre vie
Reste dans mon esprit,
Je t’aime mon Amour, pour Toujours….
G.PERRIN SEPTEMBRE 2020
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Ou nous partions tous les deux
Trainant au « cul » de notre auto
Notre « superbe » bateau !
Ce n’était qu’une petite embarcation
Mais oh, combien nous l’aimions !
Tu l’avais baptisé« le QUINQUA
Tu le domptais , comme un pacha,
Que de pêches miraculeuses
Le long des côtes rocheuses
Que de rires et de chansons
A chaque prise de poissons….
Nous adorions t’accompagner…
Harnachés comme de vrais guerriers,
Nous étions deux ou quatre…
Prêts a combattre
A pêcher le plus grand nombre
De poissons, cachés dans l’ombre,
Mais incontestablement
Tu étais le plus vaillant,
Ta bourriche se remplissait
De rascasses, de castagnoles
Des sars et des carrelets
A chaque prise, doucement, tu rigoles…
Et puis arrive l’heure du casse croute,
Vers le « Rouveau »nous jetons l’ancre,
Heureux , sous le soleil ,on t’écoute,
Toi, faisant preuve d’indulgence
Tu nous félicites, de notre pêche
Alors que ,comparant les bourriches
Nous constatons ,un peu revêche
Qu’il n’y a pas la moindre triche
Le pêcheur, le vrai, le cador
C’est Toi, mon Amour, plein d’humour
Toi qu’amis et famille adorent…
Vers le port du Brusc, doucement
Le « QUINQUA » vogue lentement
A son bord, une urne noire, des fleurs,
Et du chagrin plein les cœurs…,
Un été ....à venir, verra partir
Vers le Rouveau , face a la haute mer
Ces cendres qui me sont si chères….
Chaque parcelle de toi,
Sera gravée en moi !
Chaque souvenir de notre vie
Reste dans mon esprit,
Je t’aime mon Amour, pour Toujours….
G.PERRIN SEPTEMBRE 2020


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