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« ÉCLATS DE COUPLE … »
Quand deux cœurs éclatent,
Pour s’être trop mal fréquentés;
Quand les époux se battent,
Pour s’être trop mal aimés;
La vie, aussi, brise ses entrailles,
Livrant un amour défait à la chamaille;
L’avenir, aussi, est déchiré,
Livrant en victimes les enfants désarmés…
Quand un couple vocifère ses éclats,
Laissant la haine envahir les débats;
Quand le partage des fruits de l’amour,
Devient l’objet d’une trop dure et vile rivalité;
Alors, on oublie trop vite le bonheur des heureux jours,
Pour mieux châtier le coupable étonné,
Alors, on fait trop vite de l'intimité en peine une arme,
Pour mieux détruire en l’autre ce qui reste de larmes…
Quand meurt l’espoir d’un retour,
Bien qu'essayant de vaincre la cruauté;
Quand s’éteint la flamme d’un toujours,
Bien qu'essayant de réparer la méchanceté;
Alors, ne reste plus que la force du silence,
Pour mieux ennoblir les affres en souffrance;
Alors, ne reste plus qu'à tolérer la mésentente,
Pour mieux soigner l'essor de la futile violence…
Quand est impossible le recours à la tendresse,
Devant des sentiments noyés dans trop d'ivresses;
Quand est impossible le recours à la sagesse,
Devant une vie ébranlée par trop de détresses;
Alors, le repli total devient la véritable issue,
Pour soutenir la relance d’un nouveau début;
Alors, l’oublie devient la seule délivrance possible,
Garantissant la renaissance de temps plus paisible...
© Tous droits réservés :
Jean-Marc Simard (CIMART)
Quand deux cœurs éclatent,
Pour s’être trop mal fréquentés;
Quand les époux se battent,
Pour s’être trop mal aimés;
La vie, aussi, brise ses entrailles,
Livrant un amour défait à la chamaille;
L’avenir, aussi, est déchiré,
Livrant en victimes les enfants désarmés…
Quand un couple vocifère ses éclats,
Laissant la haine envahir les débats;
Quand le partage des fruits de l’amour,
Devient l’objet d’une trop dure et vile rivalité;
Alors, on oublie trop vite le bonheur des heureux jours,
Pour mieux châtier le coupable étonné,
Alors, on fait trop vite de l'intimité en peine une arme,
Pour mieux détruire en l’autre ce qui reste de larmes…
Quand meurt l’espoir d’un retour,
Bien qu'essayant de vaincre la cruauté;
Quand s’éteint la flamme d’un toujours,
Bien qu'essayant de réparer la méchanceté;
Alors, ne reste plus que la force du silence,
Pour mieux ennoblir les affres en souffrance;
Alors, ne reste plus qu'à tolérer la mésentente,
Pour mieux soigner l'essor de la futile violence…
Quand est impossible le recours à la tendresse,
Devant des sentiments noyés dans trop d'ivresses;
Quand est impossible le recours à la sagesse,
Devant une vie ébranlée par trop de détresses;
Alors, le repli total devient la véritable issue,
Pour soutenir la relance d’un nouveau début;
Alors, l’oublie devient la seule délivrance possible,
Garantissant la renaissance de temps plus paisible...
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Jean-Marc Simard (CIMART)
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