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Elles viendront, les nuits sans étoile
Les nuits opaques et maquillées
De brumes épaisses, de vents damnés;
Qui arpentent les dédales
Des sinueuses défuntes rêveries;
Celles si proches des langueurs
Des furtifs instants de bonheur
Qui savaient que demain serait gris
Et là-voilà! L'étoile qui pleure!
Le ciel dénué de goût… Riez!
Mes douces fleurs, demain, vous flétrirez
Et moi, l'âme éthérée, j'écrirai au saule pleureur
Les nuits opaques et maquillées
De brumes épaisses, de vents damnés;
Qui arpentent les dédales
Des sinueuses défuntes rêveries;
Celles si proches des langueurs
Des furtifs instants de bonheur
Qui savaient que demain serait gris
Et là-voilà! L'étoile qui pleure!
Le ciel dénué de goût… Riez!
Mes douces fleurs, demain, vous flétrirez
Et moi, l'âme éthérée, j'écrirai au saule pleureur
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