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ENVOL
L’indéfinissable envol
Léger et frivole
J’ai pris le vol
Dans le cockpit cette alvéole
Les ailes déployées
Je me suis envolé
Sur mon siège bien attaché
Au sol les kilomètres défilaient
Comme un couple qui convole
Je me suis senti frivole
Comme alcoolisé d’un produit viticole
Coupant l’air tel un discobole
Accroché au vent
Je voyage dans le temps
J’avance tel un moulin à vent
Toujours en direction du levant
Je regarde la fin de cette nuit étoilée
Laissant apparaître une journée ensoleillée
Entre mes deux ailes, dans ce beau ciel spatial
Je découvre cette planète aux couleurs abyssales
Je veux dormir sur ton cœur
M’endormir léger comme une plume
Sentir ta peau et sa chaleur
Écrire ma nuit au porte plume
Mes yeux apaisés de bonheur
Souscrire vers des rêves qu’on exhume
Entendre en chœur le Carillonneur
Le son de l’amour qui embrume
M’envoler comme tous ces avionneurs
Rapprocher les continents et leurs coutumes
Fendre la violence et tous ses admirateurs
Regarder les volcans et leur lave apostume
S’il y a en ce monde des orpailleurs
C’est à nous de trouver la vie qui parfume
De rendre à l’homme sa profondeur
Et toutes ses œuvres anthumes
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( ¸. •´ ( ¸. •´ ( ¸. •*´¯`*•> CHARLY
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ENVOL
L’indéfinissable envol
Léger et frivole
J’ai pris le vol
Dans le cockpit cette alvéole
Les ailes déployées
Je me suis envolé
Sur mon siège bien attaché
Au sol les kilomètres défilaient
Comme un couple qui convole
Je me suis senti frivole
Comme alcoolisé d’un produit viticole
Coupant l’air tel un discobole
Accroché au vent
Je voyage dans le temps
J’avance tel un moulin à vent
Toujours en direction du levant
Je regarde la fin de cette nuit étoilée
Laissant apparaître une journée ensoleillée
Entre mes deux ailes, dans ce beau ciel spatial
Je découvre cette planète aux couleurs abyssales
Je veux dormir sur ton cœur
M’endormir léger comme une plume
Sentir ta peau et sa chaleur
Écrire ma nuit au porte plume
Mes yeux apaisés de bonheur
Souscrire vers des rêves qu’on exhume
Entendre en chœur le Carillonneur
Le son de l’amour qui embrume
M’envoler comme tous ces avionneurs
Rapprocher les continents et leurs coutumes
Fendre la violence et tous ses admirateurs
Regarder les volcans et leur lave apostume
S’il y a en ce monde des orpailleurs
C’est à nous de trouver la vie qui parfume
De rendre à l’homme sa profondeur
Et toutes ses œuvres anthumes
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