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« Explicationnature météoroloufoque » *
Le soleil du mois d’août était indélicat
étant devenu fou nous donna du tracas
Il avait exporté sa chaleur solaire,
Et laissé notre été en ambiance polaire.
Pris d'un désir soudain il se fit galactique
Cherchant quelques planètes au penchant érotique.
Disant je brûle pour vous il dardait ses rayons
Puis-je vous dessiner de l’amour un brouillon
Si cela vous convient vous aurez en cadeau
L’éclairage magique aussi plaisant que chaud
Cependant sur la terre la solaire bonté
Manquant passablement aux désirs de l’été
On n’imaginait plus le flirt sur le gazon
Sans risquer des nuisances d’hivernale saison
Et même en ces alcôves où l’étreinte s’abrite
Les couvertures sorties servaient de laineux gîte
Et sur les peaux de bête devant d’immenses feux
On faisait des partouzes si l’on n’était frileux.
Et comme on se gelait les ovaires ou les couilles
On prit l’astre solaire pour le roi des andouilles.
Or Phébus désirant séduire une planète
Qui bien plus que les autres était un peu honnête
Subit un refus net. Va draguer dans ta cour
Car l’été par ta faute a pris un mauvais tour
Comment prétendre alors me mener au bonheur
S’il faut garder lainage pour montrer ton ardeur
Si tu veux visiter mes intimes trésors
Il n’y a qu’un moyen passe moi l’anneau d’abord
Ainsi Saturne unie avec le rond solaire
Ressuscita l’été qui manquait à la terre.
Saturne qui n'avait fait qu’un contrat provisoire
Pourrait encore changer le cours de notre histoire
Aux chaleurs excessives les tiédeurs font parfois
Des discours météo qui n’ont ni foi ni loi
Il faut donc redouter que des bises perverses
Viennent nous humecter de leurs lâches averses
Ou que de vieux nuages transporteurs de grisaille
Fassent dans le joli temps de perfides entailles
Donc il faut profiter bronzer son ombilic
Saturne derechef se pourrait colérique.
* NB
Ces mots sont brevetés et aucun dictionnaire
Ne peut s’en prévaloir sans déclencher la guerre.
Mais l'on peut proposer la somme convenable
Pour que ces mots savants deviennent utilisables.
Le soleil du mois d’août était indélicat
étant devenu fou nous donna du tracas
Il avait exporté sa chaleur solaire,
Et laissé notre été en ambiance polaire.
Pris d'un désir soudain il se fit galactique
Cherchant quelques planètes au penchant érotique.
Disant je brûle pour vous il dardait ses rayons
Puis-je vous dessiner de l’amour un brouillon
Si cela vous convient vous aurez en cadeau
L’éclairage magique aussi plaisant que chaud
Cependant sur la terre la solaire bonté
Manquant passablement aux désirs de l’été
On n’imaginait plus le flirt sur le gazon
Sans risquer des nuisances d’hivernale saison
Et même en ces alcôves où l’étreinte s’abrite
Les couvertures sorties servaient de laineux gîte
Et sur les peaux de bête devant d’immenses feux
On faisait des partouzes si l’on n’était frileux.
Et comme on se gelait les ovaires ou les couilles
On prit l’astre solaire pour le roi des andouilles.
Or Phébus désirant séduire une planète
Qui bien plus que les autres était un peu honnête
Subit un refus net. Va draguer dans ta cour
Car l’été par ta faute a pris un mauvais tour
Comment prétendre alors me mener au bonheur
S’il faut garder lainage pour montrer ton ardeur
Si tu veux visiter mes intimes trésors
Il n’y a qu’un moyen passe moi l’anneau d’abord
Ainsi Saturne unie avec le rond solaire
Ressuscita l’été qui manquait à la terre.
Saturne qui n'avait fait qu’un contrat provisoire
Pourrait encore changer le cours de notre histoire
Aux chaleurs excessives les tiédeurs font parfois
Des discours météo qui n’ont ni foi ni loi
Il faut donc redouter que des bises perverses
Viennent nous humecter de leurs lâches averses
Ou que de vieux nuages transporteurs de grisaille
Fassent dans le joli temps de perfides entailles
Donc il faut profiter bronzer son ombilic
Saturne derechef se pourrait colérique.
* NB
Ces mots sont brevetés et aucun dictionnaire
Ne peut s’en prévaloir sans déclencher la guerre.
Mais l'on peut proposer la somme convenable
Pour que ces mots savants deviennent utilisables.
