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Hélas !
Je me promène sous le soleil de midi
Humant les senteurs parfumées, embaumant l’air
Marchant des heures et ce bel après-midi
Enchante mon esprit, le ciel parait si clair
Je la vois passer cette jolie jeune femme
La fraîcheur du minois, sourire radieux
Mon cœur lui dit que vous êtes belle, Madame
Et j’entends sa voix au timbre mélodieux
Garde-toi mon ami ! Ta jeunesse est finie
Ne prends pas ombrage, le temps a fait son œuvre
Elle ne voit que l’homme âgé, quelle ironie
Car tes rides ne font pas de toi, un chef-d’œuvre
Hélas ! Je suis toujours sensible à la beauté
Dois-je écarter le regard, éviter le monde
Me prostrer chez moi et subir la cruauté
Et le poids des ans, que la vieillesse est immonde !
Je me promène sous le soleil de midi
Humant les senteurs parfumées, embaumant l’air
Marchant des heures et ce bel après-midi
Enchante mon esprit, le ciel parait si clair
Je la vois passer cette jolie jeune femme
La fraîcheur du minois, sourire radieux
Mon cœur lui dit que vous êtes belle, Madame
Et j’entends sa voix au timbre mélodieux
Garde-toi mon ami ! Ta jeunesse est finie
Ne prends pas ombrage, le temps a fait son œuvre
Elle ne voit que l’homme âgé, quelle ironie
Car tes rides ne font pas de toi, un chef-d’œuvre
Hélas ! Je suis toujours sensible à la beauté
Dois-je écarter le regard, éviter le monde
Me prostrer chez moi et subir la cruauté
Et le poids des ans, que la vieillesse est immonde !