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Il faut bien commencer...
Je me souviens qu’en août il y a bien longtemps
J’allais me faire bronzer en Vendée sur la plage
Un jour où le soleil laissa place à l’orage
Je restais au camping la tente m’abritant.
Une brune voisine aimant le feu solaire
Me dit pour supporter ce défaut de l’été
Tenez moi compagnie et nous prendrons le thé
Le temps que ces nuages cessent de nous déplaire
L’espace sous une tente étant fort modéré
Un doux rapprochement devint inévitable
Lors j’étais débutant mais la voisine aimable
Avec conviction me rendit déluré.
Certes des théories j’avais la connaissance
Mais il fallait enfin songer à la pratique
De jeux complémentaires la belle didactique
M’apprit quelques rouages de la concupiscence
Élève satisfait de son enseignement
J’appris rapidement les façons de lui plaire
La pluie ayant cessé il devint nécessaire
D’affecter à la nuit nos seuls enchantements
Hélas comme on le sait le temps passant trop vite
Vers la fin du mois d’août je rentrais à Paris
Elle alla dans le nord retrouver son mari
D’être roue de secours fut donc mon seul mérite.
Elle m’avait bien sûr caché son mariage
Mais son charme opérant me mena au désir
Elle sut éduquer ma nature au plaisir
Et j’abordais septembre privé de pucelage.
Il fallut quelques temps pour que l’envie renaisse
De chercher un béguin qui me soit compatible
Qui à mes arguments se montrerait sensible
En une égalité d’amant et de maîtresse.
Mais n’oubliant jamais les leçons bien apprises
Je fus respectueux des plus tendres accords
Les envies précédant l’enchantement du corps
Doivent être couronnées de délices exquises.
Je me souviens qu’en août il y a bien longtemps
J’allais me faire bronzer en Vendée sur la plage
Un jour où le soleil laissa place à l’orage
Je restais au camping la tente m’abritant.
Une brune voisine aimant le feu solaire
Me dit pour supporter ce défaut de l’été
Tenez moi compagnie et nous prendrons le thé
Le temps que ces nuages cessent de nous déplaire
L’espace sous une tente étant fort modéré
Un doux rapprochement devint inévitable
Lors j’étais débutant mais la voisine aimable
Avec conviction me rendit déluré.
Certes des théories j’avais la connaissance
Mais il fallait enfin songer à la pratique
De jeux complémentaires la belle didactique
M’apprit quelques rouages de la concupiscence
Élève satisfait de son enseignement
J’appris rapidement les façons de lui plaire
La pluie ayant cessé il devint nécessaire
D’affecter à la nuit nos seuls enchantements
Hélas comme on le sait le temps passant trop vite
Vers la fin du mois d’août je rentrais à Paris
Elle alla dans le nord retrouver son mari
D’être roue de secours fut donc mon seul mérite.
Elle m’avait bien sûr caché son mariage
Mais son charme opérant me mena au désir
Elle sut éduquer ma nature au plaisir
Et j’abordais septembre privé de pucelage.
Il fallut quelques temps pour que l’envie renaisse
De chercher un béguin qui me soit compatible
Qui à mes arguments se montrerait sensible
En une égalité d’amant et de maîtresse.
Mais n’oubliant jamais les leçons bien apprises
Je fus respectueux des plus tendres accords
Les envies précédant l’enchantement du corps
Doivent être couronnées de délices exquises.