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Impressions
J'ai peint un tableau de pures impressions
Appliquant les touches de pigment chromatique
Sur la toile de la vie, les expressions
Du temps qui passe, instants fantastiques.
Quand l'aube se lève sur la verte campagne
Que le soleil ambré dans le ciel bleuté
Sourit à la douce nature et l'accompagne
Dans sa course du jour, je rêve de beauté.
Assis devant l'immensité de l'océan
Je contemple l'horizon, songeant d'aventure
Et de prendre la mer pour partir droit devant
Mais j'aime aussi la forêt, la tendre verdure.
Marcher sur des chemins de traverse, moments
Intimes et profonds, où la sérénité
Emplit l'esprit de belles pensées, firmament
De plénitude, dans les nuits d'éternité !
Le temps s’écoule tel un fleuve nonchalant
Il suit son cours dans le dédale des saisons
Sur ses rives s’échouent les souvenirs d’antan
Et sans l’hommage d’une funèbre oraison.
Le regard s’égare, se perd sur l’horizon
Cherchant un passé ressassé et prélassé
Les yeux mi-clos entre délire et raison
Douces rêveries sous le soleil harassé.
Marchant d’un pas léger, sur le chemin de terre
Je ressens le vent qui se lève, au lointain
Un vol d’oiseaux part pour le ponant, salutaire
Envol, en attendant leur détour levantin.
Que la nature est belle en ce jour d’été
Les senteurs florales parfument les prairies
Et les petits enfants rayonnent de gaieté
A s’amuser sur les marches de la mairie.
Ces sensations, impressions temporelles
Qui marquent l’esprit et notamment la mémoire
Rappels parfois fugaces, instants naturels
De bonheur partagé, ressurgissent le soir.
J'ai peint un tableau de pures impressions
Appliquant les touches de pigment chromatique
Sur la toile de la vie, les expressions
Du temps qui passe, instants fantastiques.
Quand l'aube se lève sur la verte campagne
Que le soleil ambré dans le ciel bleuté
Sourit à la douce nature et l'accompagne
Dans sa course du jour, je rêve de beauté.
Assis devant l'immensité de l'océan
Je contemple l'horizon, songeant d'aventure
Et de prendre la mer pour partir droit devant
Mais j'aime aussi la forêt, la tendre verdure.
Marcher sur des chemins de traverse, moments
Intimes et profonds, où la sérénité
Emplit l'esprit de belles pensées, firmament
De plénitude, dans les nuits d'éternité !
Le temps s’écoule tel un fleuve nonchalant
Il suit son cours dans le dédale des saisons
Sur ses rives s’échouent les souvenirs d’antan
Et sans l’hommage d’une funèbre oraison.
Le regard s’égare, se perd sur l’horizon
Cherchant un passé ressassé et prélassé
Les yeux mi-clos entre délire et raison
Douces rêveries sous le soleil harassé.
Marchant d’un pas léger, sur le chemin de terre
Je ressens le vent qui se lève, au lointain
Un vol d’oiseaux part pour le ponant, salutaire
Envol, en attendant leur détour levantin.
Que la nature est belle en ce jour d’été
Les senteurs florales parfument les prairies
Et les petits enfants rayonnent de gaieté
A s’amuser sur les marches de la mairie.
Ces sensations, impressions temporelles
Qui marquent l’esprit et notamment la mémoire
Rappels parfois fugaces, instants naturels
De bonheur partagé, ressurgissent le soir.