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Inttellifiente artificielle
Vous êtes bien aimable en pensant qu’à mon âge
Je puisse participer à votre intelligence
Hélas le temps n’ayant pas la moindre clémence
Je garde mon cerveau m’évitant tout dommage.
Je salue les auteurs qui auront le courage
D’apporter à la chose un peu de bienveillance
Ou les rares chercheurs ayant l’extravagance
D’en préciser l’usage en noircissant des pages
Si l’œuvre est bénéfique on louera son talent
à moins que par l’usage et après quelques ans
On trouve l’artifice source de turpitudes
L’humaine connerie prenant de l’amplitude
Aidé par le machin aux pouvoirs délirants
Conduira au déluge la sotte multitude.
Elle existait déjà la nature en est cause
Mais des jongleurs matheux voulant la dominer
Poussés par le besoin de vouloir plastronner
Mijotaient en secret la sotte apothéose
Car l’homme pensant moins on fit penser la chose
Et après le binaire servant à tâtonner
On vit l’informatique oser tant déconner
Que l’électron dormant tout devenait morose
Et les cerveaux humains perdant toute culture
Subirent des machines l’infâme dictature
Ce qui arrangeait bien les tireurs de ficelles
Qui gouvernant des sots dépourvus de cervelle
Nous faisaient miroiter leur dernière imposture
Oubliant le destin de la tour de Babel.
Vous êtes bien aimable en pensant qu’à mon âge
Je puisse participer à votre intelligence
Hélas le temps n’ayant pas la moindre clémence
Je garde mon cerveau m’évitant tout dommage.
Je salue les auteurs qui auront le courage
D’apporter à la chose un peu de bienveillance
Ou les rares chercheurs ayant l’extravagance
D’en préciser l’usage en noircissant des pages
Si l’œuvre est bénéfique on louera son talent
à moins que par l’usage et après quelques ans
On trouve l’artifice source de turpitudes
L’humaine connerie prenant de l’amplitude
Aidé par le machin aux pouvoirs délirants
Conduira au déluge la sotte multitude.
Elle existait déjà la nature en est cause
Mais des jongleurs matheux voulant la dominer
Poussés par le besoin de vouloir plastronner
Mijotaient en secret la sotte apothéose
Car l’homme pensant moins on fit penser la chose
Et après le binaire servant à tâtonner
On vit l’informatique oser tant déconner
Que l’électron dormant tout devenait morose
Et les cerveaux humains perdant toute culture
Subirent des machines l’infâme dictature
Ce qui arrangeait bien les tireurs de ficelles
Qui gouvernant des sots dépourvus de cervelle
Nous faisaient miroiter leur dernière imposture
Oubliant le destin de la tour de Babel.