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Sonnet Je me bats... au nom de la vie (pour ma mère)

EricB

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#22
Je me bats... au nom de la Vie !
(Ces vers sont entre autres destinés à ma tendre mère)


Tu as quitté ma vie, où tu fus ma merveille
Perturbé dans ma vie, juste après ton décès
Ô maman tu n'es plus, j'ai eu le cœur blessé
Me livrant à Bacchus, ô douce mère veille...


Fini ce cauchemar, en mon cœur tu sommeilles
Féroce ton départ, avec ma vie d'excès
Depuis ta noire envie, là je crève l'abcès
J'embrasse enfin la vie, d'une couleur vermeille


Fi ces matins chagrins ayant petite mine !
M'émerveillent pensées, là mon cœur s'illumine
Je me suis relevé... Ton fiston bien aimable !


Ensemble on souriait, faisant face aux épreuves
Tu m'appris à aimer, là je t'en fais la preuve
Mère ô mon Souvenir, d'un amour fort louable !

J. Lou Baccarra
Le 10 mai 2021
Beaucoup d'erreurs de versification, de répétitions, de phrases qui se perdent, posées sans harmonie.
La poésie c'est d'abord du beau français.
Notre langue est célébrée dans le monde entier, il faut lui faire honneur.
Pour l'hommage à une mère, je pense qu'il faut énormément travailler le texte, essayer d'en tirer non seulement l'émotion mais aussi la perfection du vocabulaire et éviter hiatus et emphase qui alourdissent, qui réduisent la force expressive.
Le sonnet est la forme la plus haute en poésie.
Il faut ciseler, reprendre sans cesse sur le métier (je mets 3 semaines-1mois pour en écrire un....et je suis encore à le reprendre 20 ans plus tard
J'espère que vous ne m'en voudrez pas d'avoir un peu repris le vôtre.
Amicalement
Eric

Tu as quitté ma vie, où tu fus ma merveille
Tout mon présent est mort, juste après ton décès.
Maman toi qui n'es plus, j'ai vu mon sort blessé
Se livrant à Bacchus...ô douce maman, veille...

Ce cauchemar cessant, en mon cœur tu sommeilles.
Ton féroce départ succède à mes excès.
Depuis ton noir désir, où je crève l'abcès,
J'embrasse enfin la vie, en des touches vermeilles.

Fi des matins chagrins ayant petite mine !
Ma pensée s'émerveille, où ma joie s'illumine.
Tu me vois relevé... Ton fils en fût capable !

Ensemble on souriait, faisant face aux épreuves.
Tu m'appris à aimer,. Là, je t'en fais la preuve
Mère, ô chère maman, d'un coeur inébranlable !
 

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