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Poème Je me suis endormi

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#1






Je me suis endormi !



Le cœur s'enflamme quand il rencontre l'amour

Je le sens palpiter, à travers tout mon corps

Coule dans mes veines comme la pluie du jour

Bat à l'unisson, nous sommes en total accord.



Et toi ! Je te vois, ces yeux bleus océan

Qui pénètrent mon âme, pétrifient ma vie

Subjugué par ta beauté et dans le néant

Je me jetterai pour assurer ta survie.



Je te pleure, mon amour, mon aimée, ma femme

La Mort a emporté tes baisers, tes sourires

Je vis avec l'ombre de tes pas, tes mots, drame

Inconsolable, ne reste que souvenirs.



Je continue à chérir nos tendres années

Le temps des premiers émois, regards complices

On se comprenait, mais maintenant condamné

Tout seul, il me reste à supporter ce supplice.



J'ai trouvé pour calmer ma douleur, la nature

Un havre de paix, de douce mélancolie

Sous le feuillage, je m'adonne à l'écriture

Après un fort orage apparaît l'embellie.



Et la vieillesse au coin d'un chemin tortueux

Viendra me dire poliment, mon ami

Prépare-toi, le grand voyage impétueux

Est arrivé et là je me suis endormi !
 

D.Isabelle

Maître poète
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France
Je suis
Une femme
Hors ligne
#2
Je me suis endormi !



Le cœur s'enflamme quand il rencontre l'amour

Je le sens palpiter, à travers tout mon corps

Coule dans mes veines comme la pluie du jour

Bat à l'unisson, nous sommes en total accord.



Et toi ! Je te vois, ces yeux bleus océan

Qui pénètrent mon âme, pétrifient ma vie

Subjugué par ta beauté et dans le néant

Je me jetterai pour assurer ta survie.



Je te pleure, mon amour, mon aimée, ma femme

La Mort a emporté tes baisers, tes sourires

Je vis avec l'ombre de tes pas, tes mots, drame

Inconsolable, ne reste que souvenirs.



Je continue à chérir nos tendres années

Le temps des premiers émois, regards complices

On se comprenait, mais maintenant condamné

Tout seul, il me reste à supporter ce supplice.



J'ai trouvé pour calmer ma douleur, la nature

Un havre de paix, de douce mélancolie

Sous le feuillage, je m'adonne à l'écriture

Après un fort orage apparaît l'embellie.



Et la vieillesse au coin d'un chemin tortueux

Viendra me dire poliment, mon ami

Prépare-toi, le grand voyage impétueux

Est arrivé et là je me suis endormi !


On ne peut que ressentir une grande émotion en lisant votre poème!
Merci du partage
Belle journée Gonzague
Bien amicalement
Isabelle
chapeau_ig8308.jpg
 
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