Poème Je ne suis pas pressé

Bravo
Le plus tard est le mieux
On n'à pas hâte de la voir cette grande faucheuse
Je viens de lui échapper. Maintenant qu''elle reste loin' de moi
Amitiés poétiques
Gaby

Il n'y a pas de deal possible avec la faucheuse (les Grecs plaçaient une obole dans la bouche des morts
pour que ceux-ci puissent passer le Styx) mais que faisait Charon de tout son pognon ? Sourire merci du partage.

Vous me paraissez aussi être habile avec les mots, quel suspense et quel maîtrise du verbe !

Merci pour ce cadeau poétique, je viens de découvrir ici une belle plume !!!

Bien à vous, amitiés,

Julien

Jai tout simplement adoré !!!
Remettre sans cesse l'issue fatale fut une réelle prouesse avec autant de dérision que de persuasion rythmé par un verbiage fluide et élégant.

Merci Monsieur le poète.


Amitiés

La Grande Faucheuse est pressée !
PFFF elle faudrait qu'elle puisse décompresser un peu !
Trop de pression de la part de son patron ! elle devrait en parler a son délégué syndical ! non mais !!
Amitiés a toi
Perceval

Difficile de lui échapper, et difficile de pouvoir négocier avec elle ! Un joli poème en tout cas !

Merci Sentimentale, je vous souhaite donc maintenant d'avoir tout votre temps ! Poétiquement vôtre.

Moïse Wolff, merci pour ce message et cette allusion au nocher infernal. Il a dû en effet se constituer un petit pécule au fil du temps avec ces pièces. Les pilleurs de tombes antiques ont longtemps cherché ce viatique dans les restes qu'ils profanaient, mais par économie, les familles ne mettaient souvent qu'un rond de métal sans valeur, pas sûr que Charon ait apprécié !

Merci à vous J. Lou Baccarra, pour votre passage et votre aimable appréciation.

C'est très gentil, Moi. C'est une petite fantaisie sur un sujet grave, pour changer un peu...

Mais oui Perceval, voilà la solution : qu'elle se mette en grève ! Merci pour la suggestion !

Merci Chessmec, je ne suis pas très bon en marchandage, alors, c'est peut-être mieux comme ça...

Bien amicalement à tous.

Kanth

La mort quand elle frappe n'attend guère, il faut donc profiter de la vie, vivre à fonds, vivre des tas d'expériences et lorsque la mort viendra n'avoir aucun regret. En effet plus facile à dire qu'à faire.

Merci pour ce poème subtilement écrit.

Amicalement.

Merci Souricette, le bon vieux « carpe diem » reste le meilleur conseil en effet !