- Inscrit
- 4 Mars 2019
- Messages
- 2,193
- J'aime
- 4,858
- Points
- 123
- Je suis
- Une femme
Hors ligne
Je t’attendrai
Quand je partirai pour le grand voyage,
Celui dont on ne peut mesurer la durée,
Celui pour lequel je n’emporterai pas de bagages,
Pas même les choses que j’ai beaucoup aimé !
Ce jour là, une gentille hirondelle,
S’envolera en tenant mon âme sous son aile,
Elle la déposera sur un rayon de soleil
Qui m’emmènera à travers le ciel,
Pour la laisser
Devant la porte du Jardin Éternité !
Bien sûr, je me garderai d’y entrer !
Avec patience j’attendrai de te voir arriver !
Peut-être te faudra-t-il encore des années,
Pour parcourir ton chemin
Et boucler le tracé
De ton actuel destin !
Moi, j’aurai quand même au moment de partir,
Ramassé tous mes plus beaux souvenirs !
Assise devant la porte du Jardin Eternité
Il me faudra sans doute du temps, pour tous les réveiller !
Alors des brumes du passé, surgira ton image,
La forme de ton visage !
Ton sourire charmeur,
Ton regard éclairé par cette petite lueur,
La ronde des mots que tu aimes aligner
Pour en faire des poèmes qui traduisent ta pensée,
Parfois tendres déclarations,
D’autres fois révoltes pleines de passions,
Et gravée dans la mémoire de mon cœur, ta voix !
Cette vois aux accents tendresses,
Dont le souvenir s’enroule autour de moi
Comme une infinie caresse
Emie
Quand je partirai pour le grand voyage,
Celui dont on ne peut mesurer la durée,
Celui pour lequel je n’emporterai pas de bagages,
Pas même les choses que j’ai beaucoup aimé !
Ce jour là, une gentille hirondelle,
S’envolera en tenant mon âme sous son aile,
Elle la déposera sur un rayon de soleil
Qui m’emmènera à travers le ciel,
Pour la laisser
Devant la porte du Jardin Éternité !
Bien sûr, je me garderai d’y entrer !
Avec patience j’attendrai de te voir arriver !
Peut-être te faudra-t-il encore des années,
Pour parcourir ton chemin
Et boucler le tracé
De ton actuel destin !
Moi, j’aurai quand même au moment de partir,
Ramassé tous mes plus beaux souvenirs !
Assise devant la porte du Jardin Eternité
Il me faudra sans doute du temps, pour tous les réveiller !
Alors des brumes du passé, surgira ton image,
La forme de ton visage !
Ton sourire charmeur,
Ton regard éclairé par cette petite lueur,
La ronde des mots que tu aimes aligner
Pour en faire des poèmes qui traduisent ta pensée,
Parfois tendres déclarations,
D’autres fois révoltes pleines de passions,
Et gravée dans la mémoire de mon cœur, ta voix !
Cette vois aux accents tendresses,
Dont le souvenir s’enroule autour de moi
Comme une infinie caresse
Emie