Hors ligne
Somptueuses guipures
à l'horizon vermeil
où s'incline le soleil
en ultimes dorures.
Il a pour tombeau immense
la mer et ses eaux qui dansent
et noient ses derniers rayons.
Je perçois des voix si lointaines
je songe à des choses passées.
Le vent d'une ombre m'a frôlée.
La lune monte, pâle et pleine,
au ciel calme du jeune été.
à l'horizon vermeil
où s'incline le soleil
en ultimes dorures.
Il a pour tombeau immense
la mer et ses eaux qui dansent
et noient ses derniers rayons.
Je perçois des voix si lointaines
je songe à des choses passées.
Le vent d'une ombre m'a frôlée.
La lune monte, pâle et pleine,
au ciel calme du jeune été.