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Pour gagner, dans la vie, il faut prendre la peine
C’est comme ça que le fond manque le moins mon ami,
Le sage qui l’a écrit s’appelait La Fontaine,
Quelques siècles ont passé mais tu n’as rien compris.
Comptes sur toi et bois d’l’eau
Sans tes mains ni ta tête
Tu iras au ruisseau
T’es trop lourd et trop bête.
Tu méprise le travail et le riche laboureur,
Mais ton ventre crie famine devant la fourmilière,
Mastiquer, avaler cela n’ te fait pas peur,
Ton bras craint le râteau, il préfère la cuillère.
Comptes sur toi et bois d’l’eau
Sans tes mains ni ta tête
Tu iras au ruisseau
T’es trop lourd et trop bête.
Tu aimes bien trop les boîtes, et tu joues les cigales,
Tu te remues les fesses au son de la musique,
Tu bois les verres sans soif, tu es le roi du bal,
Tu te prends pour un bouc qui court après les biques.
Compte sur toi et bois d’l’eau
Sans tes mains ni ta tête
Tu iras au ruisseau
T’es trop lourd et trop bête
Un jour il s’ra trop tard, tu auras déraillé,
T’auras raté la marche de ton dernier bistrot,
Tu lècheras le fond de ton assiette brisée,
A force de pas assez, un jour ce sera trop;
Tout au bout du rouleau
Tes mains prendront ta tête
Assis dans le ruisseau
Ce n’ sera pas ta fête.
Pour gagner, dans la vie, il faut prendre la peine,
C’est comme ça que le fond manque le moins mon ami,
Le sage l’avait écrit et s’appelait La Fontaine,
Ta vie sera passée, tu n’auras rien compris…
C’est comme ça que le fond manque le moins mon ami,
Le sage qui l’a écrit s’appelait La Fontaine,
Quelques siècles ont passé mais tu n’as rien compris.
Comptes sur toi et bois d’l’eau
Sans tes mains ni ta tête
Tu iras au ruisseau
T’es trop lourd et trop bête.
Tu méprise le travail et le riche laboureur,
Mais ton ventre crie famine devant la fourmilière,
Mastiquer, avaler cela n’ te fait pas peur,
Ton bras craint le râteau, il préfère la cuillère.
Comptes sur toi et bois d’l’eau
Sans tes mains ni ta tête
Tu iras au ruisseau
T’es trop lourd et trop bête.
Tu aimes bien trop les boîtes, et tu joues les cigales,
Tu te remues les fesses au son de la musique,
Tu bois les verres sans soif, tu es le roi du bal,
Tu te prends pour un bouc qui court après les biques.
Compte sur toi et bois d’l’eau
Sans tes mains ni ta tête
Tu iras au ruisseau
T’es trop lourd et trop bête
Un jour il s’ra trop tard, tu auras déraillé,
T’auras raté la marche de ton dernier bistrot,
Tu lècheras le fond de ton assiette brisée,
A force de pas assez, un jour ce sera trop;
Tout au bout du rouleau
Tes mains prendront ta tête
Assis dans le ruisseau
Ce n’ sera pas ta fête.
Pour gagner, dans la vie, il faut prendre la peine,
C’est comme ça que le fond manque le moins mon ami,
Le sage l’avait écrit et s’appelait La Fontaine,
Ta vie sera passée, tu n’auras rien compris…