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La cire fond, langoureusement
Tout se consume
Mais la flamme protège le temps
Quand le cœur hume
Délicatement, le feu gris
Qui brise la bulle
Elle détonne, quand l'amour gît
Nue, dans le vestibule
Et dans la ville
La joie se fait morne
La grêle frappe les brindilles
L'oiseau vole et le ciel s'orne
D'effluves transparentes
Si belles au crépuscule
La douceur est si lente
Putrescente, elle se pullulent
Doucement, elle agonise
Ses perles coulent
Elle crie ''Dieu! Ravive la brise''
Elle est l'enfant, seule dans la foule.
Tout se consume
Mais la flamme protège le temps
Quand le cœur hume
Délicatement, le feu gris
Qui brise la bulle
Elle détonne, quand l'amour gît
Nue, dans le vestibule
Et dans la ville
La joie se fait morne
La grêle frappe les brindilles
L'oiseau vole et le ciel s'orne
D'effluves transparentes
Si belles au crépuscule
La douceur est si lente
Putrescente, elle se pullulent
Doucement, elle agonise
Ses perles coulent
Elle crie ''Dieu! Ravive la brise''
Elle est l'enfant, seule dans la foule.
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