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La fleur du Renouveau
Délicate pensée, par le vent, emportée
Susurre-nous ta dance en ta douce présence
Toi qui m’a envoûtée, car tes fleurs irisées
Sont un air d’espérance en ces cieux de malchance.
Bidonville, et égout, tu offres le redoux
Par ton jardin verdi qui déborde de vie
Et où les tourments nouent les cœurs de son dégoût
Un peu d'utopie en ces noires anémies.
Tu portes un fardeau qui afflue sous l’écho
D’un organisme obscur qui de son envergure
Manigance un complot bien sinistre aux bas mots
Pour son investiture au fourbes écorchures.
Avec haute arrogance, Aerith, pour la science
N’est qu’un sujet de test, sans nulle autre conteste
Mais sa grande clémence est un apport de chance
Pour que se manifeste un vœu, par son seul geste.
Si sage et réfléchie, elle a porté le fruit
De l’illustre héritage afin que le naufrage
Qui, sous son joug, occis de par sa vilenie
Gaia qui, comme en cage, souffre dans cette rage.
Tant convoitée tu as dû te sacrifier
Sans perdre un seul instant, de vue, ce doux présent
Que tes pairs t’ont léguée pour pouvoir épurer
Les méfaits éloquents de ces cœurs de Satan.
Dur à payer était le prix pour ce projet
Mais nul autre moyen pour calmer les chagrins
N’a pu être un succès en ce monde sans paix
Où l’avenir s’éteint noyant tout lendemain.
Ses amis larmoyants ont fait de son présent
Le plus beau des cadeaux : offrir un renouveau
A ce monde oppressant au déclin alarmant
En détruisant les maux prescrits par leurs rivaux.
Rivière de la vie, ton âme, en harmonie
Se lie pour octroyer à ce monde embrumé
En suprême alchimie avec tes chers amis
Le Sacre convoité après ces temps lésés.
Retrouve ton amour, maintenant, pour toujours
Tu l’as tant mérité tendresse parfumée
Tes amis, sans détours, poursuivront chaque jour
D’honorer tes pensées avec sincérité.
Oiseau Lyre
Délicate pensée, par le vent, emportée
Susurre-nous ta dance en ta douce présence
Toi qui m’a envoûtée, car tes fleurs irisées
Sont un air d’espérance en ces cieux de malchance.
Bidonville, et égout, tu offres le redoux
Par ton jardin verdi qui déborde de vie
Et où les tourments nouent les cœurs de son dégoût
Un peu d'utopie en ces noires anémies.
Tu portes un fardeau qui afflue sous l’écho
D’un organisme obscur qui de son envergure
Manigance un complot bien sinistre aux bas mots
Pour son investiture au fourbes écorchures.
Avec haute arrogance, Aerith, pour la science
N’est qu’un sujet de test, sans nulle autre conteste
Mais sa grande clémence est un apport de chance
Pour que se manifeste un vœu, par son seul geste.
Si sage et réfléchie, elle a porté le fruit
De l’illustre héritage afin que le naufrage
Qui, sous son joug, occis de par sa vilenie
Gaia qui, comme en cage, souffre dans cette rage.
Tant convoitée tu as dû te sacrifier
Sans perdre un seul instant, de vue, ce doux présent
Que tes pairs t’ont léguée pour pouvoir épurer
Les méfaits éloquents de ces cœurs de Satan.
Dur à payer était le prix pour ce projet
Mais nul autre moyen pour calmer les chagrins
N’a pu être un succès en ce monde sans paix
Où l’avenir s’éteint noyant tout lendemain.
Ses amis larmoyants ont fait de son présent
Le plus beau des cadeaux : offrir un renouveau
A ce monde oppressant au déclin alarmant
En détruisant les maux prescrits par leurs rivaux.
Rivière de la vie, ton âme, en harmonie
Se lie pour octroyer à ce monde embrumé
En suprême alchimie avec tes chers amis
Le Sacre convoité après ces temps lésés.
Retrouve ton amour, maintenant, pour toujours
Tu l’as tant mérité tendresse parfumée
Tes amis, sans détours, poursuivront chaque jour
D’honorer tes pensées avec sincérité.
Oiseau Lyre