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La Monomanie monarchique n’est rien sans un peu de logique
L’ennui chez un monarque est qu’il est seul à bord
Présidant en la place qu’il ait raison ou tort
Et comme selon la loi il fera son mandat
Plaira ou déplaira le long du quinquennat
La loi le protégeant et n’ayant pas de faille
On ne saurait virer un mandat qui défaille
Et les erreurs commises créent des oppositions
Sachant proliférer pour gâcher du pognon
Ainsi donc apparaissent des prêcheurs hystériques
Qui s’efforcent de plaire au peuple très septique
Et donnant l’impression que le but politique
Est d’être contre tout sans idées bénéfiques
Si le vent tourne mal et que nul ne gouverne
Dans un sens ou la vie serait un peu moins terne
Les inutilités deviennent des horreurs
Et notre économie enchante les prêteurs.
Il faut qu’on se la coupe aurait dit La Fontaine
Parlant de la gestion devenue fort malsaine
Et l’important étant de tous participer
Il faut un économe pour tout aseptiser
Un bon apolitique ayant pour but unique
De conserver chez nous l’imposition publique
Doit tuer les dépenses de maintes sinécures
D’éliminer les coûts de toutes démesures.
Car on nous cache bien les plus étranges coûts
Des inutilités ne faisant rien du tout
Des pistonnés d’antan qui léchant quelques bottes
Obtiennent sans raison le droit à des carottes.
Ceux ne sachant compter devront sortir du lot
Où l’on voit pêle-mêle les gueulard et les sots
Pour ne pas repartir sur des urnes moroses
Dont le goût pour l’erreur devient apothéose !
Et si le choix se laisse encore influencer
Par des incompétents aptes à anarchiser
Ne vous étonnez pas d’un état bordélique
Qui vote sans réfléchir détruit la république.
L’ennui chez un monarque est qu’il est seul à bord
Présidant en la place qu’il ait raison ou tort
Et comme selon la loi il fera son mandat
Plaira ou déplaira le long du quinquennat
La loi le protégeant et n’ayant pas de faille
On ne saurait virer un mandat qui défaille
Et les erreurs commises créent des oppositions
Sachant proliférer pour gâcher du pognon
Ainsi donc apparaissent des prêcheurs hystériques
Qui s’efforcent de plaire au peuple très septique
Et donnant l’impression que le but politique
Est d’être contre tout sans idées bénéfiques
Si le vent tourne mal et que nul ne gouverne
Dans un sens ou la vie serait un peu moins terne
Les inutilités deviennent des horreurs
Et notre économie enchante les prêteurs.
Il faut qu’on se la coupe aurait dit La Fontaine
Parlant de la gestion devenue fort malsaine
Et l’important étant de tous participer
Il faut un économe pour tout aseptiser
Un bon apolitique ayant pour but unique
De conserver chez nous l’imposition publique
Doit tuer les dépenses de maintes sinécures
D’éliminer les coûts de toutes démesures.
Car on nous cache bien les plus étranges coûts
Des inutilités ne faisant rien du tout
Des pistonnés d’antan qui léchant quelques bottes
Obtiennent sans raison le droit à des carottes.
Ceux ne sachant compter devront sortir du lot
Où l’on voit pêle-mêle les gueulard et les sots
Pour ne pas repartir sur des urnes moroses
Dont le goût pour l’erreur devient apothéose !
Et si le choix se laisse encore influencer
Par des incompétents aptes à anarchiser
Ne vous étonnez pas d’un état bordélique
Qui vote sans réfléchir détruit la république.