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Poème La montagne

Gonzague

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#1
La Montagne


Et sur la montagne au sommet tourmenté

Quand la forêt recouvre de son vert feuillage

Des espaces naturels, coule au fond de gorge

Le chant minéral d'un torrent indompté


Quand la nature se couvre d’un blanc manteau

Que la montagne se coiffe d’un grand chapeau

L’hiver s’installe doucement dans les vallées

Et sourit froidement au ciel étoilé


Quand la montagne se pare de son manteau

D'hermine, l'aigle plane au dessus des vallées

Perçant d'un cri strident, le merveilleux tableau

De la vie rurale, aux reflets acidulés


En montagne, le berger mène son troupeau

Là-haut dans les alpages, au son du pipeau

L’ombre de l’aigle planera dans le ciel

Les bouquetins joueront sous un arc-en-ciel


Au soir de l’hiver, quand le soleil est de glace

Que ses rayons meurent dans les flots naufragés

D’un lac de montagne, plane à sa surface

L’ombre d’un bel oiseau noir qui part voyager


Quant à la montagne, on peut voir sur ses sommets

Chamois, mouflons, gravir les pentes escarpées

Les marmottes s’amuser dans les herbes folles

Et les moutons batifoler en cabrioles

 
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#2
La Montagne


Et sur la montagne au sommet tourmenté

Quand la forêt recouvre de son vert feuillage

Des espaces naturels, coule au fond de gorge

Le chant minéral d'un torrent indompté


Quand la nature se couvre d’un blanc manteau

Que la montagne se coiffe d’un grand chapeau

L’hiver s’installe doucement dans les vallées

Et sourit froidement au ciel étoilé


Quand la montagne se pare de son manteau

D'hermine, l'aigle plane au dessus des vallées

Perçant d'un cri strident, le merveilleux tableau

De la vie rurale, aux reflets acidulés


En montagne, le berger mène son troupeau

Là-haut dans les alpages, au son du pipeau

L’ombre de l’aigle planera dans le ciel

Les bouquetins joueront sous un arc-en-ciel


Au soir de l’hiver, quand le soleil est de glace

Que ses rayons meurent dans les flots naufragés

D’un lac de montagne, plane à sa surface

L’ombre d’un bel oiseau noir qui part voyager


Quant à la montagne, on peut voir sur ses sommets

Chamois, mouflons, gravir les pentes escarpées

Les marmottes s’amuser dans les herbes folles

Et les moutons batifoler en cabrioles

Les bureaux de mon entreprise sont entourés de montagne. Lorsque j'y retournerai, je les regarderai en relisant votre poème pour l'apprécier encore plus !
Merci :)
 
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#3
Les bureaux de mon entreprise sont entourés de montagne. Lorsque j'y retournerai, je les regarderai en relisant votre poème pour l'apprécier encore plus !
Merci :)
Juste, précision : de mon bureau, on n'aperçoit pas les marmottes et les moutons. Mais c'est un détail ;)
 

CLARI

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#4
Votre poème est magnifique, çà me rappelle Jean Ferrat...
Pourtant, que la montagne est belle

 

D.Isabelle

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#7
La Montagne


Et sur la montagne au sommet tourmenté

Quand la forêt recouvre de son vert feuillage

Des espaces naturels, coule au fond de gorge

Le chant minéral d'un torrent indompté


Quand la nature se couvre d’un blanc manteau

Que la montagne se coiffe d’un grand chapeau

L’hiver s’installe doucement dans les vallées

Et sourit froidement au ciel étoilé


Quand la montagne se pare de son manteau

D'hermine, l'aigle plane au dessus des vallées

Perçant d'un cri strident, le merveilleux tableau

De la vie rurale, aux reflets acidulés


En montagne, le berger mène son troupeau

Là-haut dans les alpages, au son du pipeau

L’ombre de l’aigle planera dans le ciel

Les bouquetins joueront sous un arc-en-ciel


Au soir de l’hiver, quand le soleil est de glace

Que ses rayons meurent dans les flots naufragés

D’un lac de montagne, plane à sa surface

L’ombre d’un bel oiseau noir qui part voyager


Quant à la montagne, on peut voir sur ses sommets

Chamois, mouflons, gravir les pentes escarpées

Les marmottes s’amuser dans les herbes folles

Et les moutons batifoler en cabrioles


Je rêve les yeux ouverts en vous lisant Olivier, merci de ce sublime partage!
Belle journée
Amitiés
Isabelle
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