Hors ligne
Il est des soirs languissants de peu sourire et
Et d'ombrages aux tristes feuillages
Mais la nuit tend vers moi la douce main d'orphé
M'emplit de son ombre et me laisse porter
En clarté noire d'ennuie de fine soie effeuillée
Esseulé de silence de traine en mélancolie
Les pâles lueurs étranges m'entrainent à l'oublies .
Je me couche tout de noir vétue en rêve éperdu
Le songe sans fin de la tendre vertu
En n'etre que délice d'une âme perdu
Au seuil de la nuit me glisse ainsi dévêtu .
Et d'ombrages aux tristes feuillages
Mais la nuit tend vers moi la douce main d'orphé
M'emplit de son ombre et me laisse porter
En clarté noire d'ennuie de fine soie effeuillée
Esseulé de silence de traine en mélancolie
Les pâles lueurs étranges m'entrainent à l'oublies .
Je me couche tout de noir vétue en rêve éperdu
Le songe sans fin de la tendre vertu
En n'etre que délice d'une âme perdu
Au seuil de la nuit me glisse ainsi dévêtu .