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La plus pure des magies
L’été a laissé place aux souffles enneigés
Pour un peu de beauté avec son manteau blanc
Lustré, d’un air candide, par le vent emportant
Nos pensées de l’année s’écoulant doucement.
On admire en créant des décors en couleurs
Qui viendront sublimer en ce mois de Décembre
Nos maisons et jardins avec leurs teintes ambres
Pour offrir à nos cœurs un instant de chaleur.
Nos divers ornements parcourent nos logis
Accueillant nos idées, nos croquis, et histoires
Par un trait imagé de couleurs et d’espoir
Faisant de ces flocons un taciturne abri.
Ce ballet épris par un bienfaiteur silence
M’apporte la sagesse, le calme, et le repos
Et illustre bien vite, de mon être, son halo
Qui s’associe si bien à son insouciance.
Ce tableau m’a toujours conté la plus jolie
Symphonie du silence imbibée de magie
Où nos larmes font dons d’un ruisseau infini
D’amour pour nous offrir, de Noël, son esprit.
Chaque saison alloue ses précieux trésors
Mais l’hiver a pour moi le plus beau des théâtres
Ce poudrin nous tissant la chaleur de nos âtres
En cachant, sous son âme, une allégorie d’or.
Son incolore aspect au frimas rebutant
Sous sa poudreuse blanche, recèle bien des dons
Une eurythmique fête aux valeurs de renoms
Inspirant, sans conteste, des auteurs de talent.
Avant de nous offrir sous son esprit de paix
Aux élans colombins, le plus beau des présents
L’écrit du renouveau sous l’art effervescent
De Gê, par son pinceau, aux multiples attraits.
Son opéra floral aux diverses senteurs
Où les sens de sa toile allouent que nos hivers
Sont les brillant cadeaux renfermant sous leur terre
Leur art naturel par leur polychrome cœur.
De ce qui, chaque année, émoustille nos sens
Renfermant, sous leur couche, un vent de féérie
Un énième miracle épris de poésie
Où Gaïa réveillée réexprime sa danse.
Oiseau Lyre.
L’été a laissé place aux souffles enneigés
Pour un peu de beauté avec son manteau blanc
Lustré, d’un air candide, par le vent emportant
Nos pensées de l’année s’écoulant doucement.
On admire en créant des décors en couleurs
Qui viendront sublimer en ce mois de Décembre
Nos maisons et jardins avec leurs teintes ambres
Pour offrir à nos cœurs un instant de chaleur.
Nos divers ornements parcourent nos logis
Accueillant nos idées, nos croquis, et histoires
Par un trait imagé de couleurs et d’espoir
Faisant de ces flocons un taciturne abri.
Ce ballet épris par un bienfaiteur silence
M’apporte la sagesse, le calme, et le repos
Et illustre bien vite, de mon être, son halo
Qui s’associe si bien à son insouciance.
Ce tableau m’a toujours conté la plus jolie
Symphonie du silence imbibée de magie
Où nos larmes font dons d’un ruisseau infini
D’amour pour nous offrir, de Noël, son esprit.
Chaque saison alloue ses précieux trésors
Mais l’hiver a pour moi le plus beau des théâtres
Ce poudrin nous tissant la chaleur de nos âtres
En cachant, sous son âme, une allégorie d’or.
Son incolore aspect au frimas rebutant
Sous sa poudreuse blanche, recèle bien des dons
Une eurythmique fête aux valeurs de renoms
Inspirant, sans conteste, des auteurs de talent.
Avant de nous offrir sous son esprit de paix
Aux élans colombins, le plus beau des présents
L’écrit du renouveau sous l’art effervescent
De Gê, par son pinceau, aux multiples attraits.
Son opéra floral aux diverses senteurs
Où les sens de sa toile allouent que nos hivers
Sont les brillant cadeaux renfermant sous leur terre
Leur art naturel par leur polychrome cœur.
De ce qui, chaque année, émoustille nos sens
Renfermant, sous leur couche, un vent de féérie
Un énième miracle épris de poésie
Où Gaïa réveillée réexprime sa danse.
Oiseau Lyre.