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- LE KREMLIN BICETRE
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A ceux qui ont encore de longs chemins à faire,
Profitez de la vie, du bonheur, de l'amour,
Jetez vos déceptions aux corbeilles et paniers,
Tenez -vous disposés à prendre votre tour.
Comprenez que le temps est pressé de passer,
Qu'il se fout des regrets, des langueurs et des larmes,
Quand bonheur est perdu, un autre va arriver,
Sur le bord d'une route vous attend une autre âme.
Imaginez ceux-là qui ne' pourront plus jamais,
Crier la face au vent, combien la vie est belle,
Et qui donneraient tout pour être les valets,
De vos méchants démons, de ceux qui vous harcèlent.
A ceux de la jeunesse qui croient la vie perdue,
Prenez la douche froide qui vous réveillera,
Décollez vos paupières et retrouvez la vue,
Ressortez vos atouts, et le reste suivra.
Sortez de vos consoles, courrez vite aux jardins,
Regardez toutes ces fleurs, ces oiseaux qui pétillent,
La si belle nature guidera vos chemins,
Devenez papillon, ne soyez plus chenille.
Et si mélancolie vous aura résisté,
Consultez l'océan, interrogez la mer,
Qu'y- a t - il de mieux devant l'immensité,
Pour chasser de son âme les mauvais goûts amers.
Profitez de la vie, du bonheur, de l'amour,
Jetez vos déceptions aux corbeilles et paniers,
Tenez -vous disposés à prendre votre tour.
Comprenez que le temps est pressé de passer,
Qu'il se fout des regrets, des langueurs et des larmes,
Quand bonheur est perdu, un autre va arriver,
Sur le bord d'une route vous attend une autre âme.
Imaginez ceux-là qui ne' pourront plus jamais,
Crier la face au vent, combien la vie est belle,
Et qui donneraient tout pour être les valets,
De vos méchants démons, de ceux qui vous harcèlent.
A ceux de la jeunesse qui croient la vie perdue,
Prenez la douche froide qui vous réveillera,
Décollez vos paupières et retrouvez la vue,
Ressortez vos atouts, et le reste suivra.
Sortez de vos consoles, courrez vite aux jardins,
Regardez toutes ces fleurs, ces oiseaux qui pétillent,
La si belle nature guidera vos chemins,
Devenez papillon, ne soyez plus chenille.
Et si mélancolie vous aura résisté,
Consultez l'océan, interrogez la mer,
Qu'y- a t - il de mieux devant l'immensité,
Pour chasser de son âme les mauvais goûts amers.
