Hors ligne
Presse moi dans tes bras d’absolu vertige,
sans trêve, au long de nos nuits d’amour.
Sur mes seins frissonnés d’ombres douces
dans l'alcôve où danse la lumière,
pose tes mains qui me déraisonnent.
J’aime tant leur généreuse ardence.
J'aime tant qu'elles me dessinent
jusqu'en dehors de moi-même,
jusqu'en tes propres rêves.
Bois le pourpre de mes lèvres
jusqu’à supplicier leur pulpe tendre.
Que s’accomplisse encore la magie inespérée
de cette émotion issue des éclats de l’être
et dont l’absence nous jette en famine féroce,
irrassasiés l'un de l'autre.
sans trêve, au long de nos nuits d’amour.
Sur mes seins frissonnés d’ombres douces
dans l'alcôve où danse la lumière,
pose tes mains qui me déraisonnent.
J’aime tant leur généreuse ardence.
J'aime tant qu'elles me dessinent
jusqu'en dehors de moi-même,
jusqu'en tes propres rêves.
Bois le pourpre de mes lèvres
jusqu’à supplicier leur pulpe tendre.
Que s’accomplisse encore la magie inespérée
de cette émotion issue des éclats de l’être
et dont l’absence nous jette en famine féroce,
irrassasiés l'un de l'autre.