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L’Amour Brisé
J’avais peur de la vie…Elle ouvrait sa fenêtre
A tous les chants de l’aube. Elle savait aimer,
Elle seule, ma Muse, heureuse de renaître
Aux accents de la mer, au Jazz improvisé.
Notre Histoire était tout ce dont rêvent deux êtres,
Amoureux sous la pluie comme deux affamés,
Deux enfants éperdus par un rire, une lettre,
Qui se mangent des yeux et boivent leurs baisers.
Si le Temps se suspend, sommes-nous seuls au monde ?
Ma main cherche ta main pour ouvrir cette ronde,
Mais l’automne a déjà la couleur du Passé…
Celle, ocre, du couchant où Ciel et Mer se trompent.
Le Souvenir de Toi, plus jamais, ne s’estompe :
C’est le seul Paradis dont on n’est pas chassé !..
J’avais peur de la vie…Elle ouvrait sa fenêtre
A tous les chants de l’aube. Elle savait aimer,
Elle seule, ma Muse, heureuse de renaître
Aux accents de la mer, au Jazz improvisé.
Notre Histoire était tout ce dont rêvent deux êtres,
Amoureux sous la pluie comme deux affamés,
Deux enfants éperdus par un rire, une lettre,
Qui se mangent des yeux et boivent leurs baisers.
Si le Temps se suspend, sommes-nous seuls au monde ?
Ma main cherche ta main pour ouvrir cette ronde,
Mais l’automne a déjà la couleur du Passé…
Celle, ocre, du couchant où Ciel et Mer se trompent.
Le Souvenir de Toi, plus jamais, ne s’estompe :
C’est le seul Paradis dont on n’est pas chassé !..