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Poème L'Automne

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#1
L’AUTOMNE

Quelle saison colorée que celle de l’automne

Moment ou dame nature quitte sa robe d’été usée

Pour enfiler son peignoir hivernal bien douillet

Instant que choisissent les arbres pour mûrir les pommes

Les feuilles se parent de mille et une couleurs

Du rouge, du jaune, de l’ocre ou du marron

Y passent toutes les nuances, toutes les façons

Et puis elles tourbillonnent, volettent et chutent sans douleur

De partout, la végétation se met en sommeil

Les récoltes se terminent de partout

Les champs creusent leurs sillons, prêts ont tout

Le sous-sol se fait dorer aux derniers rayons du soleil

Saison relais entre le chaud de l’été et le froid de l’hiver

Elle nous permet de nous habituer doucement aux premiers frimas

D’oublier les vacances, la bronzette, de reprendre l’école pas à pas

Doucement la nature, petit à petit, s’endort sans revers.
 
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#5
Voilà l'Automne c'est tout ça:)...On aime cette saison à vous lire...Elle est belle,elle habite entre l'été et l'hiver ,elle garde de l'été certaines couleurs et prend de l'hiver un peu de vent et de froid..
Un grand plaisir de lecture Jean Yves.
Merci beaucoup.
Fanny
Merci Fanny!
Amitiés, Jean-Yves
 
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#10
L’AUTOMNE

Quelle saison colorée que celle de l’automne

Moment ou dame nature quitte sa robe d’été usée

Pour enfiler son peignoir hivernal bien douillet

Instant que choisissent les arbres pour mûrir les pommes

Les feuilles se parent de mille et une couleurs

Du rouge, du jaune, de l’ocre ou du marron

Y passent toutes les nuances, toutes les façons

Et puis elles tourbillonnent, volettent et chutent sans douleur

De partout, la végétation se met en sommeil

Les récoltes se terminent de partout

Les champs creusent leurs sillons, prêts ont tout

Le sous-sol se fait dorer aux derniers rayons du soleil

Saison relais entre le chaud de l’été et le froid de l’hiver

Elle nous permet de nous habituer doucement aux premiers frimas

D’oublier les vacances, la bronzette, de reprendre l’école pas à pas

Doucement la nature, petit à petit, s’endort sans revers.
L'automne inspire beaucoup les poètes
Pour preuve ce bel écrit
Merci Jean Yves
Gaby
 
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