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Le héron au long bec qui ne plut pas du tout (fable de fin d'année)
Un jour sur ses petons , arriva d’un seul coup
Un gars voulant péter bien plus haut que son trou
Bien qu’il n’eut qu’un petit derrière.
En sortant du néant il s’exposa au jour
Pour jouer de l’Élysée quelques uns de ses tours
À Marianne sa compère.
L’état en aurait fait aisément son profit:
Avec quelques talents il aurait pu surprendre
Mais on eut beau attendre
Il ne créa que du dépit.
Se foutant de l’état il régnait à ses heures,
Choisissant des ministres serviles autant que sots
Il ne se rapprocha hélas que du fiasco
alors en s’évadant souvent de sa demeure
Il alla en Europe jouer les ambitieux
hélas n’y faisant pas mieux
Il y perdit encore la face
L’état de son néant rapidement se lasse.
Se voyant présidée par un sot mirliton
La France dit il faut l’éjecter du donjon
Or il faudrait des urnes la détermination
Pour renvoyer le nul prometteur de fadaises
Qui ayant les paroles n’avait pas les façons
Et qui vida le coffre par manque de raison
En creusant à l’excès notre dette française
Donnant aux électeurs une affreuse leçon.
Nous ne fumes pas difficiles:
En élisant un mal habile
Prétendant vouloir trop gagner.
Quand il fallait le dédaigner,
Surtout quand vous avez mal votre compte.
N’écoutez point les mirlitons
Pour choisir oyez plusieurs contes
Un seul est choix de déraison..
Si votre raison ne dérive
évitons toute récidive
ceux prétendant raser gratuit
Ne sont que des vendeurs de bruits
Et l’on a beau plaindre la France
Quand on a élu une outrance
Les incapables prolifèrent
Dans un peuple qui désespère.
Moralité
Il faudra leur botter le cul
Pour qu’ils ne postulent plus
supprimer toutes étiquettes
qui ne vendent que des sornettes
et en trouvant des compétences
Revoir renaître notre France.
C'est ce que Marianne souhaite
Mettez vous bien ça dans la tête!
Un jour sur ses petons , arriva d’un seul coup
Un gars voulant péter bien plus haut que son trou
Bien qu’il n’eut qu’un petit derrière.
En sortant du néant il s’exposa au jour
Pour jouer de l’Élysée quelques uns de ses tours
À Marianne sa compère.
L’état en aurait fait aisément son profit:
Avec quelques talents il aurait pu surprendre
Mais on eut beau attendre
Il ne créa que du dépit.
Se foutant de l’état il régnait à ses heures,
Choisissant des ministres serviles autant que sots
Il ne se rapprocha hélas que du fiasco
alors en s’évadant souvent de sa demeure
Il alla en Europe jouer les ambitieux
hélas n’y faisant pas mieux
Il y perdit encore la face
L’état de son néant rapidement se lasse.
Se voyant présidée par un sot mirliton
La France dit il faut l’éjecter du donjon
Or il faudrait des urnes la détermination
Pour renvoyer le nul prometteur de fadaises
Qui ayant les paroles n’avait pas les façons
Et qui vida le coffre par manque de raison
En creusant à l’excès notre dette française
Donnant aux électeurs une affreuse leçon.
Nous ne fumes pas difficiles:
En élisant un mal habile
Prétendant vouloir trop gagner.
Quand il fallait le dédaigner,
Surtout quand vous avez mal votre compte.
N’écoutez point les mirlitons
Pour choisir oyez plusieurs contes
Un seul est choix de déraison..
Si votre raison ne dérive
évitons toute récidive
ceux prétendant raser gratuit
Ne sont que des vendeurs de bruits
Et l’on a beau plaindre la France
Quand on a élu une outrance
Les incapables prolifèrent
Dans un peuple qui désespère.
Moralité
Il faudra leur botter le cul
Pour qu’ils ne postulent plus
supprimer toutes étiquettes
qui ne vendent que des sornettes
et en trouvant des compétences
Revoir renaître notre France.
C'est ce que Marianne souhaite
Mettez vous bien ça dans la tête!
