Hors ligne
Voilà quelques heures que le jour a perdu contre la nuit,
Je vois la lune dans cette voûte étoilée qui luit.
Alors que d’autres sont dans les bras de Morphée,
Mes idées elles fusent de manière prononcée.
L’écriture est le moyen que j’utilise pour m’échapper,
Contre chaque jour qui est une épopée.
Mes doigts deviennent alors le prolongement de mon âme,
C’est ainsi que moi, homme parmi d’autres, je m’exclame.
Bercé par la musique de Scylla et Sofiane Pamart,
Je rêve de goûter aussi à ce grand Art.
Parfois l’inspiration inexistante donne un texte pompeux,
Mais il suffit d’un rien pour qu’il devienne fabuleux.
Cette photo sortie de mon ordinateur,
Sert à mon texte en tant que catalyseur.
Je me revois jeune, avec un air enjoué,
En ta belle compagnie en train de jouer.
Cependant, ceux sont les mots qui ont suivi,
Qui soudain me viennent à l’esprit :
Nicolas, que souhaites-tu faire plus tard ?
Sur le coup, c’était le brouillard.
A l’époque je ne rêvais que d’une chose:
Vivre tel que le Petit Prince, une histoire grandiose.
J’ai dû répondre : je ne sais pas,
Avant de lui dire : comme toi, papa.
Sa réponse est tombée dans les limbes de l’oubli,
Mais son sourire, lui, me rappelle un bonheur infini.
Cela fait maintenant quelques lunes que tu n’es plus,
Je t’imagine explorer cet Univers absolu,
Accompagné de mon héros d’enfance,
D’étoile en étoile, avec effervescence.
C’est parfois dur de vivre sans toi,
On se demande parfois pourquoi,
Pourquoi, ça a fini comme ça ?
Tu es loin de nous, là !
Concernant la question existentielle que tu m’as posée,
J’ai enfin une réponse à te proposer.
Fais de ta vie un rêve, et d’un rêve une réalité,
Lewis Carroll répond en globalité.
Je rêve de découvrir le monde de mes propres yeux,
De rencontrer des gens merveilleux.
Ces gens-là, je vais les aimer,
Avec un amour enflammé.
Je veux une vie très bien remplie,
Pour qu’avant de partir, je me sente accompli.
Alors viendra finalement la fin où je te rejoindrais,
T’entendre, te voir, t’écouter, me réjouirait.
Cependant, la vie continue,
Cela arrivera en temps voulu !
En attendant, je continuerais d’être moi,
La plus grande chose du monde, c’est de savoir être à soi.
Je vois la lune dans cette voûte étoilée qui luit.
Alors que d’autres sont dans les bras de Morphée,
Mes idées elles fusent de manière prononcée.
L’écriture est le moyen que j’utilise pour m’échapper,
Contre chaque jour qui est une épopée.
Mes doigts deviennent alors le prolongement de mon âme,
C’est ainsi que moi, homme parmi d’autres, je m’exclame.
Bercé par la musique de Scylla et Sofiane Pamart,
Je rêve de goûter aussi à ce grand Art.
Parfois l’inspiration inexistante donne un texte pompeux,
Mais il suffit d’un rien pour qu’il devienne fabuleux.
Cette photo sortie de mon ordinateur,
Sert à mon texte en tant que catalyseur.
Je me revois jeune, avec un air enjoué,
En ta belle compagnie en train de jouer.
Cependant, ceux sont les mots qui ont suivi,
Qui soudain me viennent à l’esprit :
Nicolas, que souhaites-tu faire plus tard ?
Sur le coup, c’était le brouillard.
A l’époque je ne rêvais que d’une chose:
Vivre tel que le Petit Prince, une histoire grandiose.
J’ai dû répondre : je ne sais pas,
Avant de lui dire : comme toi, papa.
Sa réponse est tombée dans les limbes de l’oubli,
Mais son sourire, lui, me rappelle un bonheur infini.
Cela fait maintenant quelques lunes que tu n’es plus,
Je t’imagine explorer cet Univers absolu,
Accompagné de mon héros d’enfance,
D’étoile en étoile, avec effervescence.
C’est parfois dur de vivre sans toi,
On se demande parfois pourquoi,
Pourquoi, ça a fini comme ça ?
Tu es loin de nous, là !
Concernant la question existentielle que tu m’as posée,
J’ai enfin une réponse à te proposer.
Fais de ta vie un rêve, et d’un rêve une réalité,
Lewis Carroll répond en globalité.
Je rêve de découvrir le monde de mes propres yeux,
De rencontrer des gens merveilleux.
Ces gens-là, je vais les aimer,
Avec un amour enflammé.
Je veux une vie très bien remplie,
Pour qu’avant de partir, je me sente accompli.
Alors viendra finalement la fin où je te rejoindrais,
T’entendre, te voir, t’écouter, me réjouirait.
Cependant, la vie continue,
Cela arrivera en temps voulu !
En attendant, je continuerais d’être moi,
La plus grande chose du monde, c’est de savoir être à soi.