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Le roi de la forêt,
La forêt est vivante, elle parle la nuit
Aux arbres et aux animaux, car elle s’ennuie
Les hommes ignorent qu’elle sait penser et réfléchir
Ils ne voient que du bois, un sol à défraîchir.
Au début, peu de chose, juste un petit gland
Seul en cet endroit qui n’était pas rutilant
Des plantes, des fleurs, enfin quelques arbrisseaux
Semés avec parcimonie près d’un ruisseau.
Le temps faisant son œuvre, la graine germa
Laissant apparaître, malgré les aléas
Au printemps, le visage vert d’un futur chêne
Et il trembla que la tempête se déchaîne.
Au fil des années, il grandit, devenant beau
Et fort, un jour de grand vent se posa un corbeau
Sur ses branches, il tenait dans son bec, un fruit
Qu’il laissa tomber car effrayé par un bruit.
Scénario se répétant plusieurs fois
Notre ami qui était esseulé autrefois
Devint le seigneur majestueux des lieux
Sa cime touchait le domaine des dieux.
De tous les alentours, on venait l’admirer
Les villageois dansaient, riaient lors des soirées
D’été, il en était fier de ce succès
Mais il avait peur des humains, de leurs excès.
Quoi de plus beau qu’un arbre multi-centenaire
Étalant ses branches aux cieux, en paratonnerre
Tu imposes un grand respect, par ta hauteur
L’homme est bien petit devant le créateur.
Si j’étais roi des forêts, je serais un Chêne
Fier et droit, quand la tempête se déchaîne
Combat de Titans, luttant, je prendrais racine
Me débarrassant de ces néfastes toxines.
Je n’aurais pas peur de mon funeste ennemi
Le bûcheron ! Je compterais sur toi, mon ami
Car c’est ton intérêt, à protéger ma vie
Sans plantes, végétaux, je crains pour ta survie !
La forêt est vivante, elle parle la nuit
Aux arbres et aux animaux, car elle s’ennuie
Les hommes ignorent qu’elle sait penser et réfléchir
Ils ne voient que du bois, un sol à défraîchir.
Au début, peu de chose, juste un petit gland
Seul en cet endroit qui n’était pas rutilant
Des plantes, des fleurs, enfin quelques arbrisseaux
Semés avec parcimonie près d’un ruisseau.
Le temps faisant son œuvre, la graine germa
Laissant apparaître, malgré les aléas
Au printemps, le visage vert d’un futur chêne
Et il trembla que la tempête se déchaîne.
Au fil des années, il grandit, devenant beau
Et fort, un jour de grand vent se posa un corbeau
Sur ses branches, il tenait dans son bec, un fruit
Qu’il laissa tomber car effrayé par un bruit.
Scénario se répétant plusieurs fois
Notre ami qui était esseulé autrefois
Devint le seigneur majestueux des lieux
Sa cime touchait le domaine des dieux.
De tous les alentours, on venait l’admirer
Les villageois dansaient, riaient lors des soirées
D’été, il en était fier de ce succès
Mais il avait peur des humains, de leurs excès.
Quoi de plus beau qu’un arbre multi-centenaire
Étalant ses branches aux cieux, en paratonnerre
Tu imposes un grand respect, par ta hauteur
L’homme est bien petit devant le créateur.
Si j’étais roi des forêts, je serais un Chêne
Fier et droit, quand la tempête se déchaîne
Combat de Titans, luttant, je prendrais racine
Me débarrassant de ces néfastes toxines.
Je n’aurais pas peur de mon funeste ennemi
Le bûcheron ! Je compterais sur toi, mon ami
Car c’est ton intérêt, à protéger ma vie
Sans plantes, végétaux, je crains pour ta survie !