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Les Enfers,
Mortel défunt, tu es conduit vers l’au-delà
Par Hermès, et seul, devant les portes infernales
Les serviteurs d’Hadès t’accueilleront ici bas
Nouveau pensionnaire des contrées fatales.
Dans l’Erèbe, les ombres infortunées errent
Sans sépulture, durant cent longues années
Avant de traverser le Styx, avec d’autres hères
Et de rejoindre la rive opposée des damnés.
Sombre séjour, Thanatos, dieu de la mort
Dans son palais de nuit, du sommeil et des songes
Aide son maître, à cueillir les âmes des corps
De pauvres enveloppes, que la vermine ronge.
Dans ce royaume, entouré de remparts d’airain
Les Moires, les Kères et les sinistres Erinyes
Serviles laquais, dans ce monde souterrain
Torturent les mortels, de leurs viles arguties.
Tu paieras ton passage, au nocher Charon
D’un rameau d’or, d’une pièce de monnaie
Et puis Cerbère, non loin du fleuve Achéron
Réclamera son dû, ou tu seras mangé !
Par les fils de Zeus, au tribunal des enfers
Avant d’accéder enfin, aux Champs Elysées
Les âmes sont jugées, tout acte mortifère
Fera souffrir l’accusé pour l’éternité.
J’irai le voir le passeur, le nocher des enfers
Il me fera traverser le fleuve Achéron
Je paierai pour passer et on fera affaire
Tu auras ton obole, dénommé Charon !
Aucun de ces dieux sur terre ou dans les airs
A le pouvoir divin, de contrôler ma vie
Je vous défie, prêt à des combats téméraires
Je ne crains pas la mort, la venue de nervis.
Mon ami Charon, tu n’es qu’un vil serviteur
Maître des basses œuvres, à l’heure du trépas
Je quitterai ce corps, sans remords, si je meurs
En héros, je n’aurai pas de mea-culpa !
Mortel défunt, tu es conduit vers l’au-delà
Par Hermès, et seul, devant les portes infernales
Les serviteurs d’Hadès t’accueilleront ici bas
Nouveau pensionnaire des contrées fatales.
Dans l’Erèbe, les ombres infortunées errent
Sans sépulture, durant cent longues années
Avant de traverser le Styx, avec d’autres hères
Et de rejoindre la rive opposée des damnés.
Sombre séjour, Thanatos, dieu de la mort
Dans son palais de nuit, du sommeil et des songes
Aide son maître, à cueillir les âmes des corps
De pauvres enveloppes, que la vermine ronge.
Dans ce royaume, entouré de remparts d’airain
Les Moires, les Kères et les sinistres Erinyes
Serviles laquais, dans ce monde souterrain
Torturent les mortels, de leurs viles arguties.
Tu paieras ton passage, au nocher Charon
D’un rameau d’or, d’une pièce de monnaie
Et puis Cerbère, non loin du fleuve Achéron
Réclamera son dû, ou tu seras mangé !
Par les fils de Zeus, au tribunal des enfers
Avant d’accéder enfin, aux Champs Elysées
Les âmes sont jugées, tout acte mortifère
Fera souffrir l’accusé pour l’éternité.
J’irai le voir le passeur, le nocher des enfers
Il me fera traverser le fleuve Achéron
Je paierai pour passer et on fera affaire
Tu auras ton obole, dénommé Charon !
Aucun de ces dieux sur terre ou dans les airs
A le pouvoir divin, de contrôler ma vie
Je vous défie, prêt à des combats téméraires
Je ne crains pas la mort, la venue de nervis.
Mon ami Charon, tu n’es qu’un vil serviteur
Maître des basses œuvres, à l’heure du trépas
Je quitterai ce corps, sans remords, si je meurs
En héros, je n’aurai pas de mea-culpa !